Rédaction d'un axe de commentaire : du réel à l'irréel, du rêve au réel
Commentaire de texte : Rédaction d'un axe de commentaire : du réel à l'irréel, du rêve au réel. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nana.rvl • 5 Décembre 2023 • Commentaire de texte • 552 Mots (3 Pages) • 297 Vues
Rédaction d’un axe de commentaire
axe choisie: Du réel à l’irréel, du rêve au réel
Dans un premiers temps le poète nous fait passer du réel à l’irréel puis du rêve au réel. nous allons dans un premiers temps voir ce qui a de réel dans le texte puis de l’irréel et pour finir le mélange des deux.
Plusieurs éléments nous montrent le côté réel du texte. Dans les premiers vers le texte parle de verre plein d’un vin et d’une chanson de batelier qui nous introduit le sujet du poème. Dans la deuxième strophes on peut retrouver de l’impératif “chantez” vers 5, “mettez” vers 7 et “que je n’entende plus” vers 6, qui n’est pas de l’impératif mais qui se retrouve cerné d’impératif par les vers qui l’entoure qui lui donne l’allure d’un ordre. Cela donne un effet de peur et de refus du surnaturel ce qui nous fait comprendre qu’il ne veut plus de surnaturel.
Le surnaturel est présent de la première et dernière strophe. Dans la première strophe on retrouve une comparaison avec “vin trembleur comme une flamme” vers 1 qui donne un effet étrange dès le premier vers. On retrouve aussi une personnification avec “vin trembleur” vers 1 qui donne vie au vin qui renforce cet aspect étrange. Pour souligner l’étrangeté dans la première strophe on retrouve des allitération en ”v” et en “r” du vers 3 à 4. Dans la dernière strophe, on retrouve une insistance avec une répétition du Rhin avec “ Le Rhin le Rhin” vers 9, qui est personnifié avec “le Rhin est ivre” qui est une chose impossible qui souligne donc l’aspect irréel du texte. on retrouve comme dans la première strophe des allitération cette fois si en “t” “b” et “i” et une assonance en “en”.Vers 1à on retrouve “l’or des nuits” qui est une référence à la légende de l’or du Rhin qui souligne le côté surnaturel du Rhin. Vers 11 et 12 on trouve des néologismes "râle-mourir" et “incantent” qui nous montre le côté magique du passage.
Dans le poème on retrouve aussi un mélange de réel et d’irréel qui est intégré dans toute les strophes qui ajoute un côté incertains entre les . Dans la première strophe on retrouve “tordre leur cheveux verts” qui fait référence à la légende rhénane sur les sirènes qui ont un caractère inquiétant. Dans la deuxième strophe on observe “filles blondes” vers 7 et “ au regard immobile aux nattes repliées” vers 8 qui est un parallèle entre réel et le surnaturel qui fait aussi référence à ce qui est dit dans la première strophe. On retrouve ce même parallèle dans la troisième strophe avec “ces fées aux cheveux verts” vers 12. Au vers 11 “ la voix chante” est une métonymie du batelier qui parle mais ce batelier a disparu ce qui fait une voix désincarné. Le dernier vers “ mon verre s’est brisé comme un éclat de rire” est composé d’une comparaison avec le “comme” qui donne un effet du surnaturel expliqué avec le verre éclaté à cause de l’incantation des fées.
...