Racine, Phèdre, acte 2, scène 2
Commentaire de texte : Racine, Phèdre, acte 2, scène 2. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Gladiator1 • 9 Mai 2023 • Commentaire de texte • 818 Mots (4 Pages) • 358 Vues
Phèdre- Racine
Intro Partielle :
Extrait de la pièce de Phèdre = scène 2 acte 1. Phèdre est la tragédie la plus connue de Jean Racine. Il devient avec cette pièce en 1677 le grand tragédien du classicisme. Après l'avoir écrite, Racine devint historiographe du roi.
Présentation Approfondie :
Elevé par Grand mere des 4 ans : éducation jansénite à Port-royal. Cela l’influence considérablement. Il utilise ses connaissances historique pour alimenter ses pieces de théatres.Devient rapidement protégé de Louis XIV. Ses tragédie = big succès à la Cour. Phèdre est écrit en 1677. Cette ptragédie classique met en scène la lutte désespéré de personnages poursuivis par la fatalité. Malgrè la violence de l’intrigue et des thèmes abordés les règles du théatres classique tel que celles des trois unités et de la biensénace sont respectées. L’extrait étudié ici est la scene 3 de l’acte 1. Un passage clé de cette œuvre ou Phèdre, l’épouse du héros Thésée tombe amoureuse de son beau fils Hipollype.Une passion considérée comme incestuese qui provoque le malheur de Phèdre et de son entourage.
Mouvements :
On retrouve 3 mouvements :
1. Ligne 1-5 : Demande de confession
2. Ligne 6-16 : Impossibilité de communication
3. Ligne 17-22 : L’aveu de Phèdre
MOUVEMENTS UN PEU PETER AU SOL !!!!
PB :
En quoi ce passage illustre-il la conception racinienne de la passion amoureuse ?
Développement :
Madame, au nom des pleurs que pour vous j’ai versés, Par vos faibles genoux que je tiens embrassés,
Elle se rend victime de Recours chantage affectif rapport domination inversé. Mais à genoux Marque de respect. Son amour pour sa maitresse prend forme passion devastatrice enclenche mécanisme tragique
Délivrez mon esprit de ce funeste doute.
Utilise ordre.
PHÈDRE. Tu le veux ? lève-toi.
Reprise de sa position de cheffe injonction. Elle ne veuc pas se laisser faire.
ŒNONE. Parlez : je vous écoute.
Ces 2 phrases = Stichométrie les émotions sont a leur paroxisme. La tension est a son comble.
PHÈDRE. Ciel ! que lui vais-je dire ? et par où commencer ?
Se présente en victime (ciel), mais peu de compassion Pose question à elle-même.Sortie de l’échange elle se mets dans une « bulle ». « Par ou » indique
nouvelle de taille, tres important. Elle se reprend à 3 reprises ! => Elle est perdue. Répliques = achées, haletante. Partagée mutisme/ aveu.
ŒNONE. Par de vaines frayeurs cessez de m’offenser.
Contraste « vaine » « frayeur » : elle relativise. Elle est en position de force. C’est Phèdre qui commet la faute
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