Le Barbier de Séville, Beaumarchais
Fiche : Le Barbier de Séville, Beaumarchais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar chabarla • 10 Juin 2024 • Fiche • 726 Mots (3 Pages) • 107 Vues
Œuvre : Le Barbier de Séville, Beaumarchais
Arguments pour lire ce livre :
Pour moi, Le Barbier de Séville de Beaumarchais mérite d’être lu, en effet, cette
comédie est pleine de vivacité et d’humour, les scènes comiques sont nombreuses
avec des quiproquos et des répliques qui valent la peine d’être découvertes. Les
personnages sont hauts en couleur et leurs interactions donne vie à la pièce. En parlant
des personnages, Figaro, le barbier, est l’un des personnages les plus célèbres du
théâtre français. Son ingéniosité et son esprit vif font de lui un personnage attachant et
divertissant. Sous l’aspect comique, Beaumarchais critique les privilèges de la noblesse
et les inégalités sociales de son époque. Il montre comment l'intelligence et la ruse
peuvent triompher sur le pouvoir et l'argent.
Résumé de l’œuvre :
"Le Barbier de Séville" raconte les aventures du Comte Almaviva qui, tombé amoureux
de la belle Rosine, cherche à l'épouser malgré les obstacles posés par son tuteur, le
vieux et jaloux Bartholo. Pour atteindre son objectif, il fait appel à Figaro, un barbier
débrouillard et rusé, qui met en place une série de stratagèmes pour aider le comte.
Figaro et le comte se déguisent et multiplient les ruses pour tromper Bartholo et
accéder à Rosine. Après plusieurs péripéties et quiproquos, Rosine découvre la vérité
sur l'amour du comte et accepte de l'épouser. Bartholo, bien que furieux d'avoir été
dupé, finit par se résigner à leur union.
Extrait :
Acte I, Scène 2
FIGARO
« Ah ! le drôle de métier que celui de barbier! Écoutez un peu ce que c'est. Dans une
grande maison, le barbier n'est rien, et pourtant il est tout. Il n'est rien par son état, mais
tout par son crédit. Pas une porte qui lui soit fermée. On lui confie les secrets, on le
consulte, on le cajole, on le paie; et si on le paie mal, il se dédommage. Les grandes
affaires comme les petites, tout passe par ses mains. Le matin, chez l’un; le soir, chez
l’autre; dans les boudoirs, dans les antichambres; il entend tout, il sait tout, il fait tout;
on ne peut se passer de lui. Les jeunes gens le voient avec plaisir; les pères, avec
confiance; les maris, avec défiance; et les grands, avec mépris. Voilà ma place; ce n'est
...