Fiche sur Rimbaud
Fiche : Fiche sur Rimbaud. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar klfghufd • 24 Juin 2024 • Fiche • 944 Mots (4 Pages) • 78 Vues
Fiche de Rimbaud :
Première soirée : Relation amoureuse entre le poète et une jeune fille. Référence obscène, bien loin de la femme inaccessible de la poésie courtoise. « Mi-nue »
Sensation : Fuite imaginaire, « picoté par les blés », « fouler l’herbe », « heureux comme avec une femme »
Le forgeron : Utilisation jurons et langage familier Révolution français avec banalisation du roi 🡪 revendication enfantin avec « Moi, je serais un homme et toi tu serais roi », critique viol « ils ont rempli ton nid de l’odeur de nos filles »
Soleil et chair : Allégorie du soleil avec « Le Soleil », terre comme une mère « que son immense sein », abstraction de la religion, « la Nature vivante »
Ophélie : Personnification, mise en valeur avec « le chant de la Nature », la nature s’anime autour d’Ophélie « le vent baise ses seins », aspect maternel nature « bercés », « nid »
Bal des pendus : Parodie de Villon, on a une danse macabre et endiablée avec « Belzebuth enragé racle ses violons » ou encore « les pantins choqués enlacent leurs bras grêles » avec allitération en l et r.
Le châtiment de Tartufe : Pastiche de Molière avec une fin alternative, ironie avec « chaste robe noire », « main gantée » il cache son identité, contre-rejet du mot « en arrachant sa chaste robe noire », « et le long chapelet des péchés pardonnés »
Venus Anadyomène : Dimension provocatrice avec le Baudelairien « le beau est bizarre », transformation dépréciative en une vieille, « cheveux fortement pommadés », rime Clara Vénus et ulcère à l’anus, « Belle hideusement »🡪 baudelairien
Les réparties de Nina : Poète qui se fond dans la nature « le vent qui te baise comme un voleur », chute finale cruelle « et mon bureau ? », des maladresses avec la généralisation « vous baigne » devient « on sent »
A la musique : Satire bourgeoise, « Les gros bureaux bouffis trainent leurs grosses dames », hypocrisie, prétention « vous savez, c’est de la contrebande », obnubilés par l’argent « le notaire pend à ses breloques » et « des rentiers à lorgnons soulignent tous les couacs », « jeune gandins », recherche du gain inhibe l’expression du lyrisme, « moi, je suis débraillé comme un étudiant »
Les Effarés : Inspiration V. Hugo, s’insurge de la misère des enfants « ils sont blottis pas un ne bouge », « à genoux, cinq petits, -misère ! -»
Roman : Poésie lyrique, généralisation avec « on n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans. », lyrisme amoureux avec les sensations « on aperçoit », « vos lèvres », courtois « l’adorée »
Morts de 92 : « hommes extasiés » ravis à l’idée de défendre la république, glorification des révolutionnaires « Morts de Valmy, Morts de Fleurus »
Le Mal : Le « mal » incarné par l’empereur ne sont préoccupant pas de ses soldats, « près du roi qui les raille » moqueries aux soldats, « Pauvres morts ! », « qui rit aux nappes damassées », critique du catholicisme
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