Devoir Heptaméron, Marguerite de Navarre

Devoir Heptaméron, Marguerite de Navarre

Violence, sexe et genre dans les 10 premières nouvelles de l’Heptaméron.

Fiche de lecture :

Nouvelle n°1 : Récit par Simontault

Perso : Saint-Aignan procureur, sa femme « plus belle que vertueuse » (p.1), l’évêque, du Mesnil.

Saint-Aignan qui tue du Mesnil pour cause qu’il s’est introduit chez lui (à cause de sa femme pcq elle lui a donné rdv pour le voir en secret car ils sont amants)

Nouvelle à revoir car par très bien comprise.

Nouvelle n°2 : récit par Oisile (Oisille)

Le muletier, sa femme, le varlet : le muletier doit se rendre auprès de la Royne de Navarre pour récupérer des sous, le varlet en profite pour essayer de séduire la femme, trop vertueuse elle l’envoie valser  il tente de violer la femme : elle se débat et la tue.

Elle devient un modèle de vertu et martyr : « Voilà, mes dames, une histoire véritable, qui doit bien augmenter le cueur à garder ceste belle vertu de chasteté » (p.80)

Nouvelle n°3 : récit par Saffredant

Roy Alfonse Naples, un beau jeune homme et sa femme d’une beauté sans pareil.

Le Roy, à un bal masqué, tombe sous le charme de la jeune femme et veut séparer les mariés. Il y a une très grande complicité entre les deux époux.

« pource que l’homme croit volontiers ce qu’il voit, il luy sembloit que les yeulx de ceste dame luy promettoient quelque bien advenir, si la presence du mary n’y donnoit empeschement. » (p.82)

Le Roi envoie le mari en mission à Rome pour pouvoir les éloigner et se rapprocher de sa femme. Tombe amoureuse du Roi, il devient son amant.

Le mari tente de convaincre la Roynne de se venger.  « Et se trouvans tous deux d’un consentement jouërent la vengeance, dont la passion avoit été importable . » + « Ainsi trompans les trompeurs, seroient quatre participans au plaisir que deux cuidoient tous seuls avoir » (p.86)

« car plusieurs mauvais garson luy faisoient les cornes par derrière, […] » à propos du gentil-homme. (p.87)

Morale donnée par Saffredant en bas de la p.87  tel est prit qui croyait prendre.

Bien revoir la p.88 pour être sur de sa compréhension.

Nouvelle n°4 : récit par Emarsuitte (pour prouver à Saffredent que toutes les femmes ne sont pas comme la Royne et que toutes les personnes qui suivent leur appétit charnel n’arrivent pas à leur fin tout le temps)

Une dame de Flandre, veuve de deux maris et aucun enfant en vie.

Son frère = un prince par alliance ; sa femme n’aime pas ses activité et sa sœur oui, elle est tout le temps joyeuse etc.

Dans la maison de son frère : un gentil-homme qui essaie d’aller vers elle : le repousse gentiment et accepte de continuer à parler avec lui si il ne recommence plus ses avances.

Dans sa maison : stratagème pour venir voir la ‘princesse’ la nuit, par la trappe en dessous du lit de cette dernière : tentative de viol ?

« Pour gaigner l’amour de son cueur je ne devois pas essayer à prendre par force son chaste corps : mais devois par un service et humble patience , attendre qu’amour fut victorieux : pource que sans luy n’ont pouvoir toute la vertu et puissance de l’homme » (p.92)

A propos du gentil-homme, l’hôte

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