L'Assommoir, Zola

A travers le cycle des Rougon-Macquart, Zola a tenté de

saisir la société française de la dernière moitié du xIx siecle

L’Assommoir scrute ainsi le milieu des ouvriers parisiens à travers les personnages de Gervaise et Coupeau, parents de la jeune Nana, elle-même héroïne éponyme d'un volume

publié en 1879. Le premier chapitre de ce roman nous plonge dans l’univers spectaculaire du théâtre des variétés, une salle de spectacle aux ornements exagérés. Cette esquisse réaliste enrichie par des phrases complexes permet à Zola de nous offrir une description riche et précise de l’univers de la courtisanerie Parisienne. Cette extrait est décrit de tel façon lque le lecteur semble assister réellement a la scène. Mêlé à un portrait approfondies de la catégorie sociale à laquelle appartient Nana, Zola dépeint le de implicitement de manière péjorative le monde de la prostitution de luxe sous le second empire avec la catégorie des noceurs et la courtisanerie. Le roman Nana, s’inscrit dans la mouvement du naturalisme, un mouvement issue du réalisme qui a pour but de montrer la société telle qu’elle est. C’est pourquoi, nous allons nous demander en quoi la présentation de cette salle est annonciatrice de la superficialité du luxe dans le milieu de la prostitution et du parcours de Nana? Pour répondre au mieux a cette problématique nous allons voir dans un premier temps une description réaliste puis la découverte d’un monde d’illusion.

De plus, la description est dominée par diverses notations sensorielles. On relève d’abord la prédominance du chant lexicale de la lumière « resplendissait », « allumaient », « luisaient », « se moiraient », « lustre », « flammes de gaz », cette présence permet à Zola d’appuyer sur l’importance du regard descriptif qui rend compte de l’aspect visuel de la salle. La luminosité de la pièce est exploré a nouveau dans la métaphore « pluie de clarté », qui donne à l’espace un impression de lumière vacillante. Ensuite, le chant lexicale du bruit « instruments », « voix chantantes », «  brouhaha », « parlaient » met d’autant plus en évidence l’importance des sens, celui de l’ouïe avec pour volonté de donner à entendre l’atmosphère. Enfin avec la syntaxe du texte, le caractère réaliste de la description de l’auteur ressort, en effet, nous retrouvons des phrase brève « il faisait chaud » en référence au toucher intercalée qui est mis en valeur.

Pour conclure, Zola décrit dans cette extrait de la façon la plus réaliste la salle de spectacle afin que le lecteur semble assister réellement a la scène. Cette description est dominé par la présence des sens et une profusion de détails. Mais c’est toutefois ce réalisme qui nous permet d’entrevoir l’illusion de ce monde est de sa superficialité avec un univers exagérément luxueux et l’envers des décors misérable. Ainsi, il nous est possible de dire que La description de la salle par Zola est annonciatrice de la superficialité du luxe dans le milieu de la prostitution et du parcours de Nana. L’extrait du roman nana s’inscrit dans le projet du réalisme et du naturalisme. Zola en est un des fondateur, à travers ces romans il décrit une réalité crue sans l’idéaliser

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