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Charles Baudelaire, « Le Soleil », Les Fleurs Du Mal, 1857

Cours : Charles Baudelaire, « Le Soleil », Les Fleurs Du Mal, 1857. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Mars 2023  •  Cours  •  450 Mots (2 Pages)  •  251 Vues

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Charles Baudelaire, « Le Soleil », Les Fleurs Du Mal, 1857

Charles Baudelaire : Né le 9 avril 1821 à Paris et mort le 31 aout 1867, est un poète qui à révolutionner la poésie de son époque (XIXème siècle).

Connu pour son recueil Les Fleurs Du Mal dont le poème Le Soleil en fait partie il se retrouve dans la partie tableaux parisiens, on considère Baudelaire comme un héritier du romantisme et un précurseur du symbolisme.

Comment le soleil est-il d’abord représenté comme l’inspirateur du poète, avant de représenter les divins pouvoirs guérisseurs de la poésie ?

Strophe 1 : Premier huitain

Comment ses vers naissent de ses promenades au soleil

« Le long des vieux faubourgs ».

« Masures », « Luxures ».

Les vers 6,7 et 8 débutent par un participe présent : « Flairant », « Trébuchant », « Heurtant ».

Le poème commence par un complément de lieu qui est péjoratif.

Ces mots montrent le contraste entre la misère et le vice de la ville moderne.

Ils parlent de la manière avec laquelle le poète cherche de l’inspiration. Ces 3 mots riment -en « an ».

Strophe 2 : Deuxième huitain

Les bienfaits du soleil

« Soleil cruel »,

« Ce père nourricier ».

« Ennemi des chloroses ».

« Vers ».

« Et commande aux moissons de croître et de mûrir ».

Personnification du soleil, qui le met en avant on en parle en bien.

Il repousse les maladies causées par le manque de fer qui rendent faibles.

Ce terme a plusieurs sens, soit les vers de terre qui se réveillent au soleil, ou les vers du poème comparés à des roses.

Ce vers évoque une capacité du soleil, celle de faire pousser les plantes.

Strophe 3 : Quatrain final

La comparaison avec le poète

 « Quand ainsi qu’un poète, il descend dans les villes, ».

« Il ennoblit le sort des choses les plus viles ».

La dernière strophe du poème est une métaphore du poète à travers le soleil.

Le soleil chasse l’ombre, fait briller les faubourgs.

Baudelaire transforme la boue en or.

Par son pouvoir, le soleil améliore, élève tous et partout, comme Baudelaire qui idéalise la réalité, la rend plus belle.

Conclusion :

Dès la première strophe, le poème aborde et mêle deux thèmes : le soleil et le poète. Elle présente un soleil cruel, violent

Le second huitain est tout l’inverse du premier il fait un éloge du soleil, qui nourrit à la fois la nature, l’esprit et le cœur

Le soleil va finir par être une métaphore des pouvoirs de la poésie au cours des vers

A la dernière strophe, le poète est également divinisé comme le soleil il a des pouvoirs qui lui permettent de guérir des maladies des maux du corp et de l’esprit.

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