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Littérature, occupation d’oisifs

Commentaire de texte : Littérature, occupation d’oisifs. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Octobre 2023  •  Commentaire de texte  •  1 011 Mots (5 Pages)  •  307 Vues

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Dissertation

Sujet : « Littérature, occupation d’oisifs »

La littérature est présente dans la vie de ceux qui écrivent comme ceux qui lisent depuis l’antiquité jusqu’à nos jours.

Selon Gustave Flaubert ``Littérature : occupation d’oisifs ‘’, autrement dit, la littérature est insignifiante, elle n’occupe que le temps de ceux qui n’ont pas vraiment d’occupation, elle ne sert à rien dans la vie des gens et c’est un domaine choisi par les paresseux.  Face à cette affirmation, Flaubert a-t-il raison ? En réalité, est-il vraiment correct de classifier les lecteurs et écrivains comme d’oisifs ?

Tout d’abord, il est vrai qui la société compte avec beaucoup de métiers et affaires, qui sont premièrement très compliqué ou qui exigent un niveau très considérable pour pouvoir l’exercer et qui ont plus d’impact dans le monde. Ils donnent des contributions très signifiantes et importants le cas de Médecin, Professeur, Avocat, juge, entre autres, mais il ne faut absolument pas dénigrer ceux qui pour occupation choisi la littérature, le cas des Ecrivains et lecteurs, ce qui apparentement fait Flaubert lorsqu’il les classifie comme « oisifs » travers sa citation.

 En analysant les périodes passés, spécifiquement vers le XVIe siècle: une période assez marquante lorsque on parle de littérature vu qu’il est marqué par l’établissement de la langue française comme une grande langue littéraire  par d’importants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne comme la prose littéraire par  François Rabelais, la poésie par Pierre de Ronsard et Joachim Du Bellay, la littérature en tant qu’écrivain est assurément pas occupation des ``paresseux’’, au contraire, privilégiés sont ceux qu’ont le talent, le temps et le moyen d’exprimer leurs émotions, leurs conflits internes et souvent les problèmes d’une société en forme d’œuvres. D’ailleurs, Joachim du Bellay, fils de jean du Bellay, poète français, né vers 1522 à Liré en Anjou et mort le 1 janvier 1560 à Paris qui est à l’origine de la formation de la Pléiade, un groupe de poètes pour lequel il rédigea un manifeste, la Défense et illustration de la langue française travers des œuvres, de façon plus résumé, grâce à la littérature ils ont pu atteindre leur but, ce qui fait déjà une contribution assez grandiose pour être donc classifié d’oisiveté.

Encore, toujours dans les siècles passés, si dans la littérature écrire était un côté de la monnaie, lire était l’autre, plus clairement, on parle des lecteurs. Ces derniers, qui dans la plupart du temps étaient des femmes nobles vu que celles qui n’appartenait pas à ces classes sociales avaient un accès limité à ce qui concerne la littérature. Ces noblesses lisaient dans leur temps libre, en conséquence il est considérable que pour eux la littérature, lire était un loisir.  Mais, le fait qu’on lise dans nos temps libres, comme un loisir, fait de nous oisifs ? Alors faire certaines activités que dans nos temps libres démontre certainement une importance de moins vis-à-vis d’autres choses, mais ça ne signifie pas que on le fait parce que on n’a pas d’autres choses à faire, si on le fait dans nos loisirs il a quand même une importance, on a quand même un intérêt pour lui, et on peut peut-être nous demander pourquoi ne pas le faire en dehors des temps libres et faire autres choses dans ce temps s’il est important et il nous intéresse ? La réponse est claire : déplacer l’ordre de faire des choses ne signifie pas toujours qu’on est moins intéressé par le même, mais signifie qu’il y a des choses qui ont un plus grand impact dans nos vies ce qui provoque la nécessité de le faire en premier. Illustrons comme exemple un étudiant, un étudiant appliqué, qui cherche toujours à avoir des bons résultats à l’école mais qui simultanément aime lire, il a une épreuve de math et encore un de français dans deux jours, lui comme quelqu’un d’appliqué il est certain qui il va préférer étudier pour ses épreuves au lieu de lire les livres, mais pourtant il aime toujours lire juste qu’il va préférer le faire quand il n’aura plus d’épreuves, choses qui ont une priorité. Ceci démontre encore une fois l’injustice qui est la dénomination oisive.

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