L'église et l'Etat pendant la révolution
TD : L'église et l'Etat pendant la révolution. Recherche parmi 302 000+ dissertationsPar hiogfjiyud-yiku • 18 Mars 2025 • TD • 4 916 Mots (20 Pages) • 12 Vues
Interrogation 17 document résumé et compréhension
Texte 1 : extrait du cahier de doléances du Tiers État du bailliage de Bar-sur-Seine relatif à la liberté de conscience des non-catholique
texte sur sur liberté de conscience → indique que c’est un droit naturel
personne ne devrai rendre de compte à quelqu’un sauf de Dieu vis à vis de sa foie
les hommes d’un même empire ne devrais avoir peur que l’ordre de la société soit troubler. Intérêt des États → rassemblé tout le monde grâce : science, art, industrie => capacité de chacun qui mène à la prospérité et à l’abondance.
LA France doit offrir un asile à tout les religions → édits de 1787 => accorde le droit aux non catholique de résidé en France
+ Église reçu de Jésus seulement armes de persuasion
chasser des personnes croyant à une autre religion serait une persécution qui offenserais Dieux de la paix et de miséricorde.
Une tolérance entre citoyens et de l’État au citoyens → permettras de retrouver ses enfants perdu + d’en acquérir de nouveau => accepter religion pour les convertir de manière sociétale
Point à retenir :
-Tiers État demande la liberté de conscience non catholique
-liberté de conscience → droit naturel
-France doit donner asile aux non d’une autre religion comme pour l’édit du mois de 1787 (donne droit au non catholique
-accepter autre religion pourra au autres de se christianisé par la société
Texte 2 : Discours de Mirabeau du 22 août 1789 à propos du futur article 10 de la DDHC
Mirabeau ne vient pas enseigner la tolérance juste expliquer sa vision des chose. La liberté la plus illimité de la religion → la plus logique et importante ets le droit sacré. Pas la tolérance, une autorité qui à le pouvoir de toléré peut donc ne pas toléré. Or une autorité qui à le pouvoir de toléré, atteint/attaque la liberté de pensé.
Toujours eu existence des opinions religieuses → diversité d’opinion = diversité d’esprit et on ne peut pas empêcher cette diversité. Si libre exercice de son culte est un droit alors chacun pour respecter son droit doit respecter son culte.
Mirabeau indique également qu’introduire la liberté des cultes à fait des ravages dans les pays voisins, par exemple les protestant seront inévitablement damné dans l’autre monde → mais Être suprême peut être bon et cela sera passablement arrangé
Il précise que les hommes ont le droit de ce mêler des choses de ce monde (sur Terre) mais pas de la liberté des cultes (dieux qui doit s’en occuper) → peuvent donc mettre liberté des cultes sans crainte de représailles
Point à retenir :
-Mirabeau pas enseigner tolérance
-religion → droit sacré
-si tolérance → possibilité à l’autorité de ne pas le toléré car pas un droit
-diversité d’opinion = diversité d’esprit
-Être suprême de s’occuper de la Q de liberté de culte, pas aux hommes
Texte 3 : La déclaration des droit de l’homme, 26 août 1789 art.10 et 11
L’AN vote, reconnaît en présence de l’Être suprême certains droit de l’homme :
art10 : on peux croire et avoir les opinion que l’on veux tant que leurs manifestation ne trouble pas l’ordre publique
art11 : droit précieux → libre communication des pensés (parole, écriture, impression) sauf si abus de cette liberté (dans cas déterminer par la loi)
Texte 4 : Constitution de 1791, 3 septembre
titre 1 → garantie à tout homme de pouvoir pratiquer/exercer le culte religieux qui lui est rattaché => le droit à la liberté au culte est inscrit à la fois dans la DDH et la constitution de 1791
Texte 5 : Discours de Stanislas de Clermont-Tonnerre du 23 décembre 1789 sur l’émancipation des juifs
Discours engagé, accusant → but de faire réagir
organisation des municipalité à été fixé par les condition éligibilité → pouvait demander aux citoyens. Mais préjugé (sur une profession ou un culte ) ne doivent pas définir son inéligibilité ou non. Or dans certaines provinces les non catholique serais écarter des élections ou des emploies publics. Clermont-Tonnerre précise que les profession et les cultes ne peuvent jamais devenir des motifs inéligibilité.
La loi de l’État avoir un impact sur la religion de l’individu tout comme la religion en peut pas influencer la loi => les deux sont distinct
précise que loi est la volonté général où l’on retrouve la volonté individuelle → la conscience ets la seule chose qui ne peut pas être mis en société donc en volonté général.
Il indique qu’il ne faut pas voir les juifs comme une nation mais comme des citoyens/individus. Il devrait avoir les même droit et loi que les catholique → ne peuvent donc pas avoir leurs juges, doivent avoir les juges de l’État pour le maintiens des lois.
Il précise que si ils ne veulent pas alors il faut les bannirent car il ne peut y avoir une nation dans une nation.
Point à retenir :
-condition éligibilité pour l’organisation des municipalités
-dans provinces non-catholique écarté des élections et des emploies publiques
-volonté personnel soumise à la volonté général => permet l’ordre
-conscience seule chose qui ne peut être mis en société
-accorder tout droit au juif comme individu et non comme nation → retiré leurs juges et mettre des juges d’État
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