Français sur les autochtones

Argument principal 1

Tout d’abord, les autochtones sont illustrés de la même manière puisque dans les deux extraits, les français démontre leur supériorité envers les autochtones.

Sous-argument 1.1

Sous-argument 1.2

Dans l’extrait de Cartier, l’Amérindien se fait avoir par une ruse qui prouve la supériorité du Français

Lahontant évoque sa supériorité en démontrant une forte réticence à adopter le mode de vie des Autochtones

Illustration 1.1

Illustration 1.2

« nous lui [montrèrent] une hache. Feignant de la lui bailler pour sa peau. À ceci il acquiesça et peu à peu s’approcha du bord de notre navire, croyant avoir ladite hache ». (ligne 15-16)

« Écoute, il faudrait pour cela que j’eusse commis en France de si grands crimes qu’il ne me fût permis d’y revenir que pour y être brûlé ». (ligne 5-6)

Explication 1.1

Explication 1.2

À cette époque, le troc était une pratique répandue, et les Français l'utilisaient comme stratégie pour attirer les Amérindiens. L'utilisation des verbes « feindre » et « croire » dans l'extrait met en évidence la manipulation employée par les Français vis-à-vis de l'Amérindien. Soulignant ainsi leur contrôle et supériorité sur la situation.

Lahontan considère le fait de devenir Huron comme une punition aussi grave que la peine de mort, suggérant ainsi une profonde préférence pour ce mode de vie et pour sa propre culture. Cette attitude renforce l'idée que Lahontan perçoit les Français supérieure des Autochtones et qu'il considère leur mode de vie comme inférieur.

Argument principal 2

Cartier illustre le peuple autochtone comme étant naïf tandis que Adario démontre son intelligence en soulignant les forces autochtones.

Sous-argument 2.1

Sous-argument 2.2

Les autochtones sont décrits comme naïf suite à leur réactions impressionnée face à la plantation de la croix.

Adario fière de son peuple, le démontre avec confiance.

Illustration 2.1

Illustration 2.2

« devant quoi ils firent plusieurs signes d’admiration, en tournant et regardant cette croix ». (ligne 9-10)

« Quelle peine trouves-tu d’approuver les contes des vieilles gens comme des jeunes ? […] Tu te mets bien de la poudre et de l’essence aux cheveux et même sur les habits ? N’ai-je pas vu des Français qui portent des moustaches, comme les chats, toutes couvertes de cire ? » . (ligne 18 à 24)

Explication 2.1

Explication 2.2

Cette réaction des Autochtones démontre leur naïveté, car ils sont impressionnés par un acte rituel qu'ils ne comprennent pas complètement. Ce qui prouve ainsi leur manque de connaissance des intentions et des significations derrière les actions des Français. Surtout lorsque l’intention des Français était de s’approprier leur terre en ayant écrit « Vive le Roi ». (ligne 6)

Adario utilise l’énumération à son avantage tout comme Lahontant l’a fait contre lui. Cette présentation détaillée de l’Autochtone montre également sa compréhension profonde de son propre mode de vie et de ses avantages. Ce qui démontre son intelligence et sa capacité à expliquer efficacement les points forts de sa culture à un autre peuple inconnu.