Portrait d'Erasme de Quentin Metsys

Portrait d’Erasme de Quentin Metsys

METSYS Quentin, né à Louvain en 1466 et mort à Anvers en 1530, peind le portrait d'Érasme.
Érasme, humaniste hollandais d'expression latine, est né à Rotterdam en 1469. Il devient religieux au monastère des Augustins de Steyn.

Description et analyse du tableau :

Ce portrait a été peind en 1517 par Quentin Metsys. On ne connaît pas les mesures et il est exposé au musée du Louvre.

Au premier plan, on peut voir Erasme habillé de sombre vêtements noirs et coiffé d’un chapeau de la même couleur que ses vêtements. Ses habits accentue son visage, marqué d’une expression d’un homme concentré et attentif à se qu’il fait. En constraste avec ses sombres habits, on remarque la fermeture de son vêtement qui est en argent.

On ne voit que sa tête et ses mains, car il est en train d’écrire sur un manuscrit avec un stylo de l’époque, c’est à dire une plume. Ce qui illustre bien qu’Erasme est un humaniste actif. On peut voir qu’il écrit de la main droite et qu’il porte une bague sur l’index de celle-ci. Le livre est soignesement posé sur un repose en bois légèrement rouge. Erasme est environ à la moitié de son manuscrit. A côté, on peut y voir un encrier ouvert, posé dans le trou fait pour cet utilité. Comparé au livre qui paraît très lumineux, même si la plume est posé sur la page, tableau ne montre aucune trace d’écriture, même légère.

Pour en revenir à la façon dont celui-ci est habillé que Quentin Metsys à choisit de le représenté religieusement, comparé à d’autre peintres comme Durer ou etc. La table est tout aussi somvre que le reste du tableau.

En arrière plan, on peut y voir un mur en bois sombre, mais moins que celui de la table au premier plan. On y remarque aussi une étagère à côté de son bureau, avec deux compartiments. Dans ceux-ci, de multiples livres sont posés, cela peut être des livres qu’il a écrit auparavant ou bien des livres pour apporfondir sa propre culture sur l’humain et ses valeurs.

Au première étage de cette bibliotèque, les livres sont soignesement posés. Quand au deuxième étage, les livres sont déposés de manière pas réfléchis.

Une paire de sciseau est étrangement accroché sur la bibliotèque. A l’époque, les livres s’imprimaient avec deux pages pliés. Les sciseaux servaient donc a couper celles-ci lors de la lecture. Il fallait donc les avoir à porter de mains pour Erasme.

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