Dialogue allemand entre deux soldats
Discours : Dialogue allemand entre deux soldats. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar AdrienPinard • 2 Février 2019 • Discours • 643 Mots (3 Pages) • 1 074 Vues
S.A : Los, raus aus den Federn! Die Waffenruhe ist vorbei. Die deutschen und die Franzosen gehen an die Front zurück. Gibt deine Familie auf und kommt an die Front, damit die deutsche Schwerter die Franzosen durchbohren.
S.F : Pourquoi tant de haine envers l’ennemi ? Rentrez donc dans notre maison et expliquer moi pourquoi souhaitez-vous retourner au front ?
Femme : Absolument. Moi et ma fille ne supportons plus les absences de notre mari. Nous vivons dans la crainte de ne jamais se revoir
S.A : Welche Frage ! In der Tat gehe ich an die Front zurück weil ich geschworen mein Land zu verteidigen habe. Verteidige bitte unser aller Leben, beschütze unser hat jetzt Mission eines jeden zu sein.
Femme : Cela est vrai, il faut protéger sa patrie. Mais nul n’est plus important que de vivre en famille et en paix.
S.F : Et puis. Je n’ai plus la force de combattre. Nos tranchées sont dans des conditions déplorables et inhumaines.
S.A : Aber auch wir. Wenn 2 deiner Freunde am gleichen Tag sterben, dann sag mir, wie dein Appetit ist. Wir gehen doch an die Front zurück.
Femme : Mais racontez moi s’il vous plait comment avez-vous fait pour quitter votre famille. Comment faites-vous ?
S.A : Es war sehr bewegend aber ich könnte kämpfen dank der Briefe meiner Frau.
S.F : Quelle chance ! Nos uniques postiers sont morts et nos lettres ne nous parviennent plus. Quand nous sommes au front, nous restons sans nouvelles de nos proches. Et comment faisiez vous pour encaisser ce manque de nourriture et ces conditions.
S.A : Wenn ich mich nicht so gut fühlte, nahm wir Drogen und der Feldherr zeigt uns, dass wir es nicht können. Ich bin doch sehr hungrig. Ich habe seit 4 Tage nichts gegessen.
Femme : Restez donc mangez avec nous. Je vous donnerais quelques vivres pour vous remettre de bons pieds
S.F : Cela nous ferait vraiment plaisir. Nous avons tant de choses à partager sur nos ressentis de la guerre.
S.A : Wir sind doch Feindin. Und woher weiß ich, dass sie uns nichts vormachen?
S.F : Faites moi confiance, Parole de soldat. Moi et ma femme ne voulons plus de la guerre.
Femme : Je voudrais savoir une chose monsieur. Dans notre pays, nos programmes scolaires sont faits de telle sorte à ce que nos enfants vous détestent. Tout est fait pour que nous vous détestons. Est-ce la même chose dans votre pays ?
S.A : Das ist nämlich sehr bedauerlich aber das ist dasselbe in Deutschland. Meine Kinder wagen es nicht mehr, zur Schule zu gehen. Sie werden krank und dann verrückt nach Blut.
Femme : Quelle horreur ! La guerre est omniprésente, nos enfants en sont menacés. Que vont-ils devenir ?!?!
S.F : Et ne parlons pas des bombardements qui touchent nos villages et notre patrimoine. Vos villages sont aussi touchés par nos barbaries. Un traité de paix ne ferait qu’améliorer les choses.
S.A : Obwohl wir Feindin sind, bin ich bereit, mit ihnen zusammenzuarbeiten, um
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