La Première Guerre Mondiale.

La Première Guerre Mondiale, surnommée la « Grande Guerre » par ses contemporains, a débuté dans l'enthousiasme en France, car les soldats pensaient qu'elle serait de courte durée et qu'ils allaient vaincre les ennemis rapidement. Cependant, elle s'est malheureusement éternisée, et a causé près d'un million quatre cent mille morts en France : on parle de véritable « saignée ». Nous pouvons nous demander dans quelles conditions et dans quel état d'esprit les Français ont vécu cette guerre. Pour cela, nous verrons dans une première partie comment s'est déclenchée la guerre en France, puis nous nous intéresserons dans une deuxième partie à la vie au « front » et à « l'arrière ». Enfin nous étudierons le bilan et les conséquences de la guerre.

Première partie:

La france dans le conflit. Bien qu'européenne d'abord, et mondiale ensuite, c'est en france que la grande guerre a connu ses principales opérations militaires, celles qui ont décider de sa durée et de son issue. C'est aussi la France, dont une partie a été occupé du début à la fin du conflit, qui en a supporter le fardeau le plus lourd.

Expliquons le mécanisme des alliances. Ete 1914, rien ne laisse présager un conflit imminent. Le 28 juin 1914, l'archiduc Françaois-Ferdinand, héritié du trône des Hasbourg ( autriche-hongrie ), est assasiné par un étudiant nationaliste serbe à sarajevo, en bosnie-herzégovine ( un des point chaud de la poudrière des balkans ) . Cette région est très sensible: les jeunes états liberer de l'empire ottoman s'y affrontent ainsi que deux puissances affaiblies par des tensions internes: la russie et la serbie. C'est à partir de cette poudrière localisée que la guerre éclate. La mécanique des alliances se met en place après la déclaration de guerre de l'autriche à la serbie. En quelque jours, l'europe et la france vont glisser dans la guerre, avec le consentement quasi unanime des populations.

Depuis la fin du XIXème siècle, les idées nationalistes, quoique minoritaires, sont influentes dans beaucoup d'états européens, particulièrement en allemagne et en france. Chaque nation se sent menacé dans ses interêts et se prépare à une guerre, tant au niveau diplomatique que militaire et idéologique.

Le front français constitue le coeur des opérations militaires et critallise tout les enjeux. A la suite de l'invasion de la belgique et du nord de la france par les troupes allemandes le 3 aout 1914, ainsi que l'attaque française sur les vosges, tout le quart nord-est de la france devient zone de combats.

deuxième partie:

Le comportement des français pendant la guerre au front et à l'arrière. La fin de l'année 1914 est difficiles pour les français. Après une série de revers et la bataille de la marne qui stoppe l'avancée allemendes en septembre, le front se stabilise. Les armées s'enterrent dans un réseau de tranchées. La bataille de verdun (février-décembre 1916) est un temps fort de cette guerre d'usure. Au bout de l'europe, le front russe se fissure sous les pussées révolutionnaire de 1917: il s'éffondre en décembre. La défection de la russie a de graves répercussions en france, où se concentrent désormais les efforts de l'armée allemande. Celle-ci tente au printemps 1918, une attaque massive sur l'ensemble du front. Grace à l'arrivée des Américains et a une meilleure coordination des troupes alliées dirigées par le général Foch, la manoeuvre échoue. L'armistiche est

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