Le Massacre De La Saint Barthélemy
Mémoires Gratuits : Le Massacre De La Saint Barthélemy. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar brennidon • 17 Octobre 2013 • 1 995 Mots (8 Pages) • 1 527 Vues
Massacre de la Saint-Barthélemy
Le massacre de la Saint-Barthélemy est le massacre de protestants déclenché à Paris, le 24 août 1572, jour de la Saint-Barthélemy, prolongé pendant plusieurs jours dans la capitale, puis étendu à plus d'une vingtaine de villes de province durant les semaines suivantes.(bourges,orléans,lyon,bordeaux,toulouse,alby). Cesse début octobre 10k environ de victime protestante.
Contexte :
I] Une paix et un mariage impopulaires
La paix de Saint-Germain met fin à trois années de terribles guerres civiles entre catholiques et protestants. Cette paix est précaire car les catholiques les plus intransigeants ne l'acceptent pas. Le retour des protestants à la cour de France les choque, mais la reine mère Catherine de Médicis et son fils le roi Charles IX sont décidés à ne pas laisser la guerre reprendre. Conscients des difficultés financières du royaume, ils défendent la paix et laissent Gaspard de Coligny, le chef des protestants, revenir dans le conseil royal. Pour concrétiser la paix entre les deux partis religieux, Catherine de Médicis projette de marier sa fille Marguerite de Valois avec le prince protestant Henri de Navarre, futur Henri IV. Le mariage princier est prévu le 18 août 1572. Il n'est accepté ni par les catholiques intransigeants, ni par le pape. Celui-ci et le roi d'Espagne, Philippe II, condamnent vigoureusement la politique de la reine mère.
II] Une ville sous tension
Le mariage est célébré le 18 août 1572, occasion de festivités grandioses auxquelles sont conviés tous les grands du royaume, y compris les protestants, dans un esprit de concorde et de réconciliation. Le mariage occasionne la présence à Paris d'un très grand nombre de gentilshommes protestants venus escorter leur prince. Or, Paris est une ville farouchement anti-huguenote. Les Parisiens, catholiques à l'extrême, n'acceptent pas leur présence.
III] La tentative d'attentat de Coligny
Le 22 août 1572, un attentat par tir d'arquebuse, attribué à Charles de Louviers, est perpétré contre Gaspard de Coligny. Les soupçons s’orientent très vite vers des proches des Guise et on désigne (probablement à tort) la complicité de la reine mère, Catherine de Médicis. Pourquoi cet attentat ? Peut-être pour saboter le processus de paix. Mais les plus exaltés y voient une punition divine. Plusieurs suspects sont désignés :
Les Guise ce sont les suspects les plus probables. Meneurs du parti catholique, ils veulent venger la mort de François de Guise, assassiné dix ans auparavant, sur l'ordre de Coligny, selon eux. : (L’historien bourgeon) Putch des catholiques. Aurait été soutenu par les Espagnols (philippe II fils de charles quint, et ayant hérité de l’ambition relgieuse) mais aussi affaiblir le roi de France.
Le duc d'Albe : gouverneur des Pays-Bas au nom de Philippe II : Coligny projette d'intervenir militairement aux Pays-Bas pour les libérer du joug espagnol, suivant l'alliance qu'il avait contractée avec les Nassau.
Duc d’Anjou : (wanegfellen)( Le frère du roi) l’attentat a été fai par les guises, a l’initiative de l’Espagne. Le lendemain, les conseillers du roi et de la reine-mere aurait conseillé au roi de continuer dans cette voix la et d’excecuter tous les chefs protestants ; ceci etant rejeté par le roi et la reine, du faite quils ne veulent pas se soumettre à une famille (ici les guise) et ils ne veulent pas renoncer au reve de conciliation et de concorde. Mais il y a le duc d’anjou ; il est lieutenant général ; donc contrôle les polices du royaume, il est d’accord pr cette excecution ; il y aurait donc eu une entente entre lui et le duc de guise, pour liquider les protestants. Le fait que lun des conseillers royales et etant son frere, cela fragilise le pouvoir.
donc cest pour cela quil endosse ce massacre car sinon cela aurait accusé les guise, qui sensuit du duc d’anjou, et donc le roi charles IX.
Catherine de Médicis : (Par Garrisson) selon la tradition, Coligny aurait acquis trop d'influence sur le jeune roi. Charles IX en aurait fait son favori en l'appelant familièrement « mon père ». Inévitablement, la reine mère en aurait conçu de la « jalousie » ainsi qu'une vive crainte de voir son fils entraîner le royaume dans une guerre aux Pays-Bas contre la puissance espagnole, conformément aux conseils politiques de l'amiral. Faire une alliance avec les protestants des pays-bas contre la courronne espagnole. Elle aurait manipulé son fils charles IX comme quoi il y aurait un complot contre ca personne. CdM aurait organisé lexecution des chefs huguenots mais pas le dechainement du massacre.
Catherine de Médicis et charles IX : (Crouzet) Raison d’état. Si le pouvoir n’intervient pas, il risque de dechainer les protestants. CdM aurait ordonné le massacre dabord des chefs protestants. Mais dans une visée militaire. Mais le massacre aurait échappé a son contrôle ; mais pour retablir lautorité du royaume, et ne pas montrer que le pouvoir echappe au roi, il faut donc defendre l’autorité royale.
(Pour le premier attentat)Enfin, il reste l'hypothèse d'un acte isolé, commandité – voire commis en personne – par un personnage relativement peu important, proche du milieu guisard et pro-espagnol. Le nom de Charles de Louviers, seigneur de Maurevert, est le plus fréquemment avancé à l'époque pour désigner l'auteur de l'arquebusade visant l'amiral.
Son nom n’a pas été directement nommé donneuse d’ordre, fin année 1574, que se met en place la légende noire de CdM(film : la reine margot)
Comme charles IX a été désabusé, il endosse donc ces perpetrations, cette responsabilité. Pour ne pas montrer qu’i la été utilisé.
Le massacre :
Illustration du massacre de la saint barthélémy (par Francois Dubois) :
Francois Dubois : Il est né à Amiens en 1529 alors que la réforme protestante française est déjà implantée à la cour et dans les cercles humanistes de l'Eglise. Son père, Jacques, est un humaniste : médecin installé à Paris, il publie aussi une des premières grammaires françaises. En 1572, Dubois, adepte de la religion réformée, a échappé au massacre de la St-Barthélémy. Il se réfugie ensuite à Genève, où il
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