ALENA, début 2018
Dissertation : ALENA, début 2018. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nastea • 13 Juillet 2018 • Dissertation • 3 043 Mots (13 Pages) • 1 925 Vues
Tables de matière
Introduction 3
Conséquences économiques 3
Négatifs 4
Positifs 5
Conséquences géopolitiques 7
Conséquences politiques à long terme 8
10
Conclusion 12
Bibliographie 13
Introduction
Depuis la fin de la guerre froide, en 1990, le Canada a eu plusieurs accords de libre-échange avec certains pays afin de favoriser davantage la diversification de l’économie. Ses libres échanges permettent d’éliminer les frontières physiques de sorte à dissoudre les quantités limites à transporter, mais conservent leurs politiques commerciales. Les accords les plus récents impliquant le Canada sont l’Accord de libre-échange canadien (ALEC) et l’Accord économique et commercial global (AECG). Cependant, celui qui a une plus longue date de mise en vigueur (1994) est certainement l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). L’ALENA s'applique à un bloc économique nord-américain dont la production totale s'élève aujourd'hui à 17 billions $US.[1] Depuis aout 2017, le président américain menace de quitter l’ALENA puisqu’il trouve que les avantages sont mal repartis. Quelles sont les conséquences qui furent entrainées par la signature de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA) sur le Canada ? Il y a des nuances dans les conséquences et ces nuances permettent aujourd’hui être représenté par des exemples. C’est pourquoi, que ce texte abordera les nombreuses conséquences économiques, les conséquences géopolitiques et les conséquences politiques à long terme. Les conséquences positives sur le plan économique sont grandement présentes contrairement aux conséquences négatives.
Signé en 1993, mais entré en vigueur le 1er janvier 1994, l’Accord de libre-échange nord-américain vise principalement à « accroître la richesse et la compétitivité, et apporte des avantages tangibles aux ménages, aux agriculteurs, aux travailleurs, aux fabricants et aux consommateurs ».[2] Pour s’y faire, cet accord élimine la plupart des obstacles, tarifaires et non tarifaires.
Conséquences économiques
Dans un premier temps, il sera question des conséquences économiques d’un point de vue négatif et d’un point de vue positif que l’accord a eues sur le Canada.
Négatifs
Bien que la signature de ce traité visât principalement à n’apporter que des bienfaits positifs, il y a quelques conséquences négatives pour le Canada qui s’y sont glissées. Il y a par exemple la diminution d’entreprises électroniques et aéronautiques qui appartiennent au Canada, car elles sont vendues aux plus offrants et il y a aussi le fait que les petites entreprises sont mises de côté.
L’une des conséquences les plus marquantes est subite par les fabricants canadiens. Cette ouverture des frontières a permis à plusieurs milliardaires de racheter différentes entreprises ce qui a « donné lieu à la prise en charge d’usine par des capitaux étrangers, ce qui fait en sorte que 19 des 25 principaux acteurs des industries électroniques et aéronautiques au Canada sont présentement sous propriété étrangère »[3]. À ce rythme, il serait intéressant de voir lorsque la totalité des principaux acteurs des industries électroniques et aéronautiques au Canada sera entièrement vendue. Bien évidemment, cet évènement se produit tout simplement, car l’offre des acheter est alléchante. Les anciens propriétaires font une très grande fortune en vendant leurs entreprises à des compagnies américaines. Un autre exemple de vente est dans le domaine des ressources naturelles. En 2017, « l'entreprise américaine de transformation de produits forestiers Rayonier Advanced Materials achète l'entreprise canadienne Tembec pour la somme de 1,1 milliard de dollars ».[4] Dans cette situation, il est évident que l’entreprise américaine a pris le dessous sur ce commerce et a tassé l’entreprise canadienne. Il ne serait pas surprenant de voir un éventuel monopole des compagnies américaines sur la production forestière au Canda.
Une autre conséquence négative est le rejet des petits commerçants. Bien que cet échange visât principalement à faciliter les échanges entre les trois pays, il ne permet pas aux petits marchés de joindre l’ALENA. En fait, ces entreprises espèrent éventuellement se rendre sur la scène internationale. C’est-à-dire, afin de pouvoir rendre son entreprise bénéficiaire de cette frontière « disparue », il faut avoir une grande importance dans son pays avant tout. Les grandes compagnies comme Bobardier n’ont aucunement eu de la difficulté à se faire une place dans cet accord et même à tirer un grand profit économique. Cependant, les petites entreprises d’un village qui se concentrent, par exemple, sur la menuiserie n’arrivent pas à profiter de cet échange. La cause à ce problème est simple : il y a de la place que pour les « grands ». Tout citoyen peut faire l’expérience. La population à tendance à avoir une plus grande confiance dans les grandes entreprises de renommée mondiale qu’à celle qui est aux coins de leurs rues. La raison encore une fois est simple, ces entreprises se sont bâti un nom et une réputation contrairement aux petits commerçants qui n’ont pas encore fait leurs preuves.
Positifs
Malgré les points négatifs qui sont apportés par cet accord, il y a des points positifs. Il y a par exemple la croissance économique, la création d'emplois et un plus vaste éventail de biens de consommation à meilleurs prix. Dans tous les cas, les entreprises, les consommateurs, les ménages, les travailleurs et les agriculteurs de toute l'Amérique du Nord en tirent profit. La grande différence ce que ce n’est pas au même niveau. Le président Donald Trump pense que les États-Unis sont ceux qui gagnent le moins en termes de pourcentage. Ce point sera développé plus bas dans le travail.
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