Les démocraties libérales : des lieux difficiles pour les religions ?

Cet article, « les démocraties libérales : des lieux difficiles pour les religions ? », a donc était écrit entre autres par Paul Valadier et est disposé en différentes parties expliquant toutes un point de vue des relations entre les démocraties ainsi que la religion.

Tout d'abord, sous forme d'introduction on peut observer la définition du régime politique français faite par l'auteur. La France est une république, concentrant donc la voix du peuple grâce à l’élection de députés pour chaque région et ainsi voter les lois. Cette république implique la laïcité, le droit à chaque citoyen d'avoir une liberté de croyance et de convictions.

Dans un premier temps, Paul Valadier parle des biens fait d'une démocratie pour l'Eglise, qui a une liberté de parole, et également des biens faits de l'Eglise pour une démocratie qui appelle les citoyens à être respectueux des lois et responsables du bien commun.

Dans un second temps, nous pouvons observer, sous forme de seconde partie, les différentes difficultés qu'observe l'auteur sur cette relation. Pour commencer, il évoque les difficultés structurelles, considérées comme des complications que l'on observe sur le long terme. Le catholicisme a toujours été lié à la monarchie, en effet avant sa séparation avec l'Etat, l'Eglise était rattachée à un roi, il n'y avait pas de séparation rencontrées entre la religion et le pouvoir politique, donc la société française. Il aborde ensuite le fait qu'un démocrate va considérer l'Eglise comme d'un autre temps qui paraît lointain, avec son principe d'hétéronomie, qui consiste à ce qu'un être vive avec des règles qui lui sont imposées. Ensuite il évoque les difficultés dites conjoncturelles, représentant des complications a court termes, avec l'influence d'une idéologie libérale-libertaire en opposition à toute autorité moral ou ordre moral que représente l'Eglise. Ces oppositions pouvant créer des manifestations.

Enfin, l'auteur évoque une dernière difficulté, celle traditionnelle, dû à la laïcité française, selon lui la religion devrait relever d'une sphère privé ce qui n'est pas possible en vue de la capacité de l'Eglise à rassembler les gens. Selon lui c'est la République et donc la laïcité qui aurait tendance à réguler la religion à la sphère privé. Mais ce n'est qu'illusion en vue de toute les traditions que connait la France. Nous pouvons prendre pour exemple les enterrements considérés comme privé quand il s'agit de la famille d'un citoyen, cependant quand un président est enterré cela se passe généralement dans des lieux religieux, mélangeant donc l'Etat pour l'homme ainsi que la religion pour le lieu. De plus il y a les fêtes françaises souvent d'origine religieuses abordées comme exemple par l'auteur ainsi que les aumôniers militaires et les prisons, représentant l’Etat, célébrant parfois quelques messes à l’intérieur du bâtiment pour d’éventuels détenus. Tout cela est dit pour appuyer l’argument de Paul Valadier sur le fait qu'il y a toujours eu une proximité entre Etat et religion.

Sous forme de conclusion, l'auteur se demande si toutes ses difficultés peuvent amener à quelque chose de bien ou non. Il parle de l'Eglise

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