La controverse de Valladoide

Controverse de Valladoide

Après la découverte du nouveau continent, l’Amérique. Une fois colonisé et la population soumise, un débat se pose. C’est entre 1550 et 1551, qu’a lieux la Controverse de Valladoid, sous l’impulsion du roi Charles Quint. Elle opposa deux idéologie et principalement deux hommes : Bartolomé de Las Casas et Juan Ginés Sepùlvedas. La question « les indiens ont ils-une âmes » était au cœur du débat, la question de maintenir ou stopper leur esclavage sera jugé par un jurys de Théologiens. Les documents proposés sont un extrait de des justes causes de la guerre, 1554, par Juan Ginés Sepùlvedas, et un extrait de Très bref exposé de la destruction des Indes, 1552, par Bartolomé de Las Casas. Dans un premier temps nous verrons leur deux points de vue sur la nature des indiens puis sur celle des Espagnoles et nous terminerons par leur opinions sur le droit a la conquête.

        Les points de vue sur les indiens sont opposés alors que Juan Ginés Sepùlvedas  pense que sous race, sous développés qui a besoin d’être soumis. Il pense que «les indiens demandent, de part leur nature et dans leur propre intérêt, a être placés sous l’autorité des princes d’États ». Il les qualifie d’ « hommelets », « médiocrement humains ». Il n’ont pas de science ou d’art, ni même de vestiges du passé. Ils ne sont pas civilisé car ils n’ont « pas de lois écrites mais seulement des coutumes, des traditions barbare », ils ne connaissent rien de la civilisation pas même le droit de propriété. A l’inverse pour Bartolomé de Las Casas les Indiens « étaient si bien disposé a leur égard ». Ils ont été envahi par les chrétiens, ils n’avait rien demander a personne, ils vivaient paisiblement et tranquillement. Il appui sur les nombres, « la population, estimée au début a onze cent milles âmes, est entièrement dissipé et détruite, s’il qu’il n’en reste aujourd’hui douze mille ». Il insiste également sur leurs souffrance, ils ont été tué, capturé, leur bien saccagé et pillé. Les indiens ou souffert de la colonisation, et durant cet controverse ils ont été soumis a des experiances afin de detrminé si ils possédent une ames.

        Bien sur, si leur point de vu sur les indiens, leur points de vue sur les espagnole l’est tout autant. D’un cotés,  Juan Ginés Sepùlvedas les considère comme un peuple « civilisé et vertueux, dont le puissance, la sagesse et les institutions leur aprendrons une morale plus haute et un mode de vie plus digne ». Ils pensent que les Espagnole on une « prudence, invention, magnmanimité, temperence, himanité et religion » que non pas les Indiens. Ils ont une mode de vie plus moderne et organisé avec des « monuments du passé », des « lois écrite » et des droits et devoirs comme le « droit de propriété ». D’un tout autre point de vue

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