Urs / MAP - objet géographique en tant que vecteur spatial et développeur de paysage
Analyse sectorielle : Urs / MAP - objet géographique en tant que vecteur spatial et développeur de paysage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar naelie • 25 Mars 2014 • Analyse sectorielle • 681 Mots (3 Pages) • 720 Vues
urs / la MAP un objet géographique en tant que vecteur spatial et révélateur paysager
Une introduction un peu longue :
Le déplacement sur ses deux pieds n’est qu’un vecteur de déplacement parmi d’autres ; son usage peut être de plusieurs types : soit la marche se déclinant en promenade, déplacement, travail, usages domestiques, randonnée, etc … , processus assez lents dans l’ensemble, soit sous la forme de course dont l’usage n’est pas que sportif et dont les modalités diffèrent également selon la vitesse et la durée envisagées.
Un petit détour anthropologique : La bipédie une spécificité humaine ?
Est-ce une spécificité humaine ?
Non :
oiseaux sur deux pattes (mais deux ailes), dont des espèce aux ailes atrophiées les manchots ou autruches, émeux …
mais aussi les ainges et primates dotés toutefois d’autres facultés (suspension, quatre pattes) ou encore mais plus épisodiquement le kangourou, l’ours, le etc
Oui :
dans la mesure où c’est vraiment son quasi-usage unique de déplacement par ses propres moyens culturels.
l’humain, sauf au premier âge, est conçu pour la bépidée (colonne vertébrale, orteils et morphologie plantaire) dont la posture et les particularités lui ont permis d’assurer sa survie ; En effet l’humain par son aptitude à une marche ou course longue, assez rapide, son acuité visuelle et panoramique rendue possible par sa posture dressée, des bras dégagés pouvant tenir une arme, en ont fait un chasseur redoutable, d’autant plus que son intelligence lui a permis d’accéder à le socialisation, la vie et l’organisation en groupe, facteur de force complémentaire.
Marche ou course constituent un moyen de déplacement, de locomotion et de transport qui a rempli un rôle historique essentiel, même si l’humain a recouru à d’autres vecteurs vivants (cheval, dromadaire, chameau etc ). Certes le cheval ou ses équivalents a joué également un rôle majeur (cf géopolitique, tactique et stratégique) mais il n’a longtemps concerné que des minorités et ce depuis finalement peu de temps (la domestication du cheval est attestée en Asie centrale depuis – 4500 av jc) dans l’histoire de l’humanité faite de quelques dizaines de milliers d’années.
avec des possibilités intéressantes : 4à 8 km/h, sherpas ( ) , 1 m/s en moyenne,
La bipédie : Une origine lointaine, certes mais discutée !
La théorie de la bipédie acquise de façon évolutive a été consacrée au XIX°S avec les travaux d’Eugène Dubois en 1894 créant alors le terme d’Homo Erectus pour cet être bipède. Une conjoncture favorable puisque Néanderthal est découvert en 1856, Pithecantrhropus en 1894 par le même Dubois (« chainon manquant » imaginé en 1874 par Haeckel). Une théorie agrémentée et adaptée en évoquant les raisons possibles de cette évolution : - changement de milieu avec passage de la forêt à la savane (idée d’abord émise par Lamarck) ; ou encore l’idée de s’adapter
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