Penser Les Conflits En géographie
Compte Rendu : Penser Les Conflits En géographie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 7 Janvier 2014 • 830 Mots (4 Pages) • 756 Vues
Introduction : penser les conflits en géographie.
Penser le conflit c’est envisager différentes échelles, des acteurs locaux qui le dépasse complètement, être à l’aise sur un planisphère. Se tenir informé sur l’actualité internationale, connaitre les principales zones, la nature des conflits, lire les journaux, les magazines, courrier internationale, The economist.
Le monde est une arène, un lieu de rapport de force qui évolue parfois sur la mode de la contestation. Pendant 45 ans l’histoire mondiale a été gouverné par le système Bipolaire (jusqu’à la fin de la guerre froide), entre concurrent idéologique avec un équilibre de la terreur à travers le prisme de ce système bipolaire relativement stable, mais ça a entrainé des décalages économiques, le tiers monde influent des deux blocks. L’ONU bloquait tout conflit, un certain nombre de conflits ont été résolus ; entre 1990 et 1992 l’effondrement de l’URSS. 1991 cesser le feu, arrêt des hostilités (Sierra Leone, Angola, Mozambique. Un moment charnière autour duquel les cartes ont été redistribuées. Non seulement les cartes mais aussi le mode de conflit entre état.
Penser les conflits dans un monde post guerre froide.
1991 La fin de l’histoire ? Ouvrage de Fukuyama, selon lui la fin guerre froide marque la victoire de la démocratie et du libéralisme sur les autres régimes politique. A la fin 1991 on a cru qu’avec le block de l’est effondré, la démocratie libérale allait se répandre sur le monde et l’arrêt des conflits devait suivre (chute des dictatures, restauration de la démocratie au Brésil 1983, fin de Pinochet…). La démocratisation s’est réellement engagé, fin de l’histoire. Mais très rapidement la réalité est apparue.
En Birmanie la ligue pour la démocratie de Aung San Su Kie remporte les élections de 1989 mais elle est vite été privée du pouvoir par une junte militaire de Than Shwe ; Massacre de Thien Amnen en Chine ; Blocage en Corée du Nord ; Cuba ; Afghânistân …
L’ouverture de l’Europe de l’est est source de conflits. La situation sur le terrain s’est dégradée. Certain dirigeants sont arrivés démocratiquement au pouvoir mais par la suite ils ont renforcé leur régime. L’ouverture brusque du bloc de l’est va être source de nombreux conflits (Yougoslavie, guerre du Caucase).
Au Zaïre le régime semble démocratique mais en réalité c’est un régime autoritaire et contrôlé. La Somalie en 1991 avec la chute du dictateur Siyad Barre, les différentes tribues sont incapables de désigner un successeur de manière démocratique, on a un échec total de l’état et de l’ordre institutionnel qui règne encore aujourd’hui.
Dans le nouvel ordre international qui sont nos ennemis ? Pour Huntington (et son concept de choc des civilisations) se serait pour les Américains les islamo-confucéens. Un monde dans lequel les Etats Unis n’auraient pas la primauté connaitrait plus de violence et de désordre, moins de démocratie et de croissance économique sauf si les Etats Unis continuaient comme aujourd’hui à avoir plus d’influence sur les affaires globales que tout autres pays. L’idée est d’affirmé que les EU sont la nation « nécessaire » pour assurer l’ordre mondiale. Ca reprend une idéologie plus ancienne : la destinée
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