George Sand : Biographie
Discours : George Sand : Biographie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Splout • 28 Mars 2022 • Discours • 858 Mots (4 Pages) • 335 Vues
Bio : Amantine-Aurore-Lucile Dupin est une baronne du Centre-Val de Loire à Paris. Elle est née le 1er juillet 1804 à Paris et est décéder le 8 juin 1876 à Indre en Centre-Val de Loire à 71ans se qui est un bon score pour l’époque. Mme Dupin était écrivaine, journaliste, salonnière, auteure dramatique et romancière. Oh attendez, vous devez être confus. Après tout qui est Mme Dupin. Certain d’entre vous ont peut-être déjà fais le rapprochement mais Mme Dupin n’est autre que Georges Sand. Mais alors qu’est ce que l’écrivaine reconnus de tous et des plus grand telle que Victor Hugo à avoir avec la politique de l’époque ? Et surtout pourquoi Georges Sand ? Vous demandez vous probablement. Et bien c’est se que nous allons voir maintenant.
Georges Sand, le féminin au masculin pour plaire au idéaux de l’époque : Peu le savent, mais en français, le prénom George est la forme féminine et peu usitée du prénom masculin qui prend, un S en fin de mot et Sand qui est le diminutif de Sandeau, le nom de son amant à l’époque de son 1er livre car le monde de la presse est majoritairement masculin alors pour se faire entendre en tant que femme se n’est pas facile. Mais nous ne sommes pas la pour s’éterniser sur ses écrits car se qui nous intéresse aujourd’hui c’est son engagement politique durant la quasi majorité du 19ème siècle.
Une femme dans la politique ?! : Georges Sand intervient dans la politique en 1830 (à ses 26ans). Elle fait la connaissance des socialistes Ledru-Rollin, Michel de Bourges et Barbès tout trois des socialistes et des personnes influente dans la politique . En tant que socialiste elle est pour l’égalité comme le suggère 2ème item de notre devise. Aussi surprenant que se soi notre auteure va défendre les pauvres face aux riches car pour elle c’est LE moyen de régler les inégalités sociales mais elle s’oppose au féminisme de l’époque comme le fait Eugénie Niboyet dans son journal ‘La voix des femmes’ pour n’en cité qu’une, cette dernière va par ailleurs proposer la candidature de George, ce qu’elle va refuser. Elle va par contre milité assidûment pour l’indépendance des femmes.
‘La femme étant sous la tutelle de l’homme et dans la dépendance de l’homme par le mariage, il est absolument impossible qu’elle présente des garanties d’indépendance politique. […] C’est une des premières questions dont la république socialiste aura à s’occuper […] à moins qu’on ne regarde l’égalité comme une condition de désordre et de discorde.’
Cette phrase extraite de sa lettre au Comité central de la Gauche républicaine est ici une preuve que la femme n’est pas libre et que la république socialiste, si un jour il y en à une, devra être changer car cela va en travers de l’égalité proclamé par notre si belle devise.
‘Eh bien, la réaction se trompera quant au fond de la question : le peuple est républicain quand même, et il ne sera pas si facile qu’on le pense de lui enlever sa souveraineté. Le peuple n’est pas politique, voilà ce qu’il faut reconnaître, et ce dont il ne faut point s’étonner.’
‘Le peuple tend au socialisme, dont le point de départ est le sentiment de son droit et de ses besoins. […] Dans peu de temps, le peuple sera socialiste et politique, et il faudra bien que la République soit à son tour l’un et l’autre.’
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