L'histoire médiévale
Compte Rendu : L'histoire médiévale. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jeaneudes • 8 Avril 2014 • 828 Mots (4 Pages) • 760 Vues
ul l l l l l l l l l l l l l l l ll l lharles le Chauve et Louis le Germanique, les petits-fils de Charlemagne, échangent les "Serments de Strasbourg". Par ce traité d'assistance mutuelle, ils s'unissent contre leur frère aîné, Lothaire, e... Suite
10 janvier 1356 Promulgation de la Bulle d'or de Nuremberg
Le 10 janvier 1356, l'empereur Charles IV promulgue la Bulle d'or de Nuremberg. Ce texte fondateur du Saint-Empire romain germanique détermine, au moyen de 31 articles, les règles de transmission de la... Suite
Mars 1371 Traité de Vernon
Charles V et Charles II, respectivement roi de France et roi de Navarre, signent le Traité de Vernon. Ce document vient confirmer le Traité de Pampelune, signé en mars 1365. Charles II le Mauvais doit ... Suite
21 juin 1378 Execution de Pierre du Tertre
Pierre du Tertre est arrêté en possession de documents compromettants à la fois pour lui-même et pour Charles II le Mauvais, le roi de Navarre, dont il est le secrétaire. Pierre du Tertre sera ensuite ... Suite
1385 Union de Krewo
La reine de Pologne, Hedwige d'Anjou, et le grand-duc de Lituanie, Jogaila Algirdaitis, mettent au point un accord politique et dynastique à Krewo. Les rythmes et les postes, les postes et les rythmes... Ça a le mérite d'être clair. A peine arrivé rue de Grenelle, Benoît Hamon est confronté à deux dossiers sensibles: la réforme des rythmes scolaires et les créations promises — et très attendues — de 54 000 postes. On lui souhaite du courage.
Le nouveau ministre de l'Education, issu de l'aile gauche du PS, sera-t-il celui qui enterrera, ou écornera, la promesse de François Hollande de créer 60 000 postes dans l'éducation durant son quinquennat ? (En fait, il s'agit de 54 000 postes dans l'Education nationale proprement dite, de 1000 dans l'enseignement agricole et de 5000 dans le supérieur).
La question mérite d'être posée. Le gouvernement cherche à faire 50 milliards d'euros d'économies d'ici 2017, dont une partie au sein de l'Etat. Logiquement, chacun doit contribuer, et le ministère de l'Education est le plus gros employeur de fonctionnaires.
On peut enterrer une promesse de plusieurs façons. Ouvertement, en le revendiquant haut et fort, ce qui a peu de chances d'arriver car il s'agit d'un engagement présidentiel quasi légendaire. Mais on peut aussi l'enterrer subrepticement, sans le dire, en ayant un peu honte de ce que l'on le fait mais persuadé qu'on agit pour une cause supérieure — l'intérêt général, le redressement de la France, etc.
Comment procéder subrepticement ? Ça peut se faire à l'occasion d'une réforme des programmes, en regroupant des disciplines, en en éliminant certaines, en supprimant des heures de cours... Par exemple, il est connu que la France dépense moins pour le primaire que la moyenne de l'OCDE mais plus pour le lycée . Tiens, et si on supprimait des options qui le renchérissent ?
Les inquiétudes s'expriment ouvertement. Et pour cause : on raconte que le ministre sortant aurait voulu des assurances sur ces 60
...