La Guerre

Le corpus est constitué d'extraits de récits du XVIIIe siècle: un article écrit par Damilaville s'intitulant paix et un roman Candide ou l'Optimisme de Voltaire. Ces deux auteurs traitent le sujet de la guerre. On peut alors se demander par quelles méthodes Voltaire et Damilaville dénoncent les méfaits de la guerre au travers de leur texte.

[phrase d'intro]

Voltaire écrit son texte de façon satirique donnant ainsi sa vision de la guerre. En effet, l'extrait commence par "rien" qui est un adjectif indéfini, ce mot indique donc une certaine forme d'ironie de la part de l'auteur. Le mot "si" fait preuve d'antiphrase, du fait que c'est un adjectif mélioratif. On peut donc constater une opposition entre "rien" et "si".

Mais il y a également une autre forme satirique où l'auteur décrit la guerre comme étant "beau", "leste", "brillant", "bien ordonné" ceci renforce bien l'idée d'antiphrase et d'ironie présent dans ce texte.

Voltaire décrit les lieux comme étant une "boucherie héroïque", il concidère cette scène comme un spectacle guerrier dont il en est le spectateur, donnant même le titre de "héro" à ceux qui ont tués des personnes innocentes.

On constate que la guerre ne touche pas que ceux qui sont en conflit, elle touche également les innocents qui sont tués comme le dénonce les deux auteurs donnant une description crue de ces évènements.

La description que donne Voltaire à l'état des lieux après la guerre "bras et jambes coupés", "vieillards criblés de coup", "leurs femmes égorgées" et utilise des mots violents tels que "éventrés", "cervelles répandues" afin de suciter chez le lecteur de l'horreur, pour ainsi lui faire prendre conscience des enjeux de la guerre, mais ces détails révèlent également l'injustice subie et le ragard critique de l'auteur devant ces personnes tuées sans raisons. De même qu'on parle de dépeuplement et de "désordre" dans l'article de Damilaville qui montre que la guerre engendre une anarchie et de "plaies profondent" dont on ne peut guerir.

Malgré tout, Voltaire ne rentre pas dans les détails et enjolive la situation par des euphémismes "après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros" l'emploi de cette phrase peut être interprétée de manière satirique tout en restant dans une description horrible de cette scène.

La description crue de ces scènes sont brutales mais font entièrement partis de la réalité où les conséquences sont bien plus lourdes.

Voltaire fait un bilan du nombre de morts durant la lutte "la mort de quelques milliers d'hommes", "une trentaine de milles âmes" ou encore "tas de mort" ces nombres indéfinis cherchent à faire percuter au lecteur l'empleur des dégâts mais aussi que la guerre engendre forcément la mort.

Toutes ces hostilités ont des conséquences sanglantes, mais tout cela n'est que le fruit de l'homme.

Les auteurs définissent la guerre de manière néfaste, dans le texte de Damilaville,

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