Eau dans le monde

        La thématique de l’eau touche différents domaines qui sont à la fois proches et lointains. Ce texte, répondra à certaines questions et en soulèvera d’autres. Est-ce la mauvaise gouvernance qui fait naître les conflits sur l’eau ? Est-ce la consommation ou les mauvais usages de l’eau qui augmentent la pression sur l’eau ?Les enjeux de l’eau sur l’eau forment un ensemble des pressions qui rendent l’eau vulnérable. L’eau est aujourd’hui un sujet d’actualité de plus en plus sensible. L’eau est multidimensionnelle et multiusage, à la fois chimie, support de vie ; aussi indispensable que l’air que nous respirons.

        Nous allons commencer par expliquer pourquoi maîtriser l’eau, sa rareté son prix et sa place dans le développement durable. Puis comment la maîtriser. Nous conclurons avec les conséquences qu’engendre la gestion de l’eau, de nombreux conflit, des problèmes environnementaux et le fait qu’elle devient de plus en plus rare.

        La rareté de l’eau est un problème, sa nécessité au développement durable nous obliges à l a maîtrisé. Cependant, sa valeur économique pour le tourisme, comme au Maroc, fait qu’elle est inégalement répartie dans le monde. Au Maroc, l’industrie du tourisme est en conflit non avec l’état marocain, mais avec la population qui veut un accès a l’eau courant, mais au Maroc l’eau est rare. Le problème du Maroc n’est pas une exception, en Turquie aussi, la gestion de l’eau pose un problème. Cependant, le problème Turc est a l’échelle du moyen-orient, et non a l’échelle national, mais nous verrons plus loin en quoi la Turquie crée des conflits dus à la gestion de l’eau. Nous allons nous concentrer sur l’échelle national. La Turquie tire ses principales ressources en eau douce dans les montagnes du Kurdistan, au sud-est de la Turquie dans une région aussi appelée Anatolie. L’eau que la Turquie récupèrent là-bas lui sert comme ressource hydroélectrique, pour l’agriculture irriguée et son industrie, cependant, l’eau est de plus en plus rare en Anatolie. Un autre conflit bien connu a comme principal enjeu l’eau, c’est le conflit israélo-palestinien Israël étant dans une zone désertique, l’eau y est très rare.

        La rareté de l’eau a montré que c’est une nécessité de la gérée. Mais à la gestion de l’eau, il y a un obstacle. Comment gérer l’eau ? Qui gère l’eau, une entreprise privée tel que GDF Suez ou Véolia ou bien l’état même ? Le Maroc à lui passer un contrat avec une entreprise privée. Cependant, il faut se demander si les entreprises privée on réellement un intérêt a réparé la totalité des fuites du réseau hydraulique Maroquin pour renouveler le contrat. Un autre inconvénient des entreprises privées est leur prix, car oui, au Maroc tout le monde n’a pas les moyens de payer le prix qu’ils proposent, ces personnes se retrouvent donc sans eau potable. En Turquie, ce n’est pas le même problème, là-bas la question est : De quel manière gérer l’eau ? L’état Turc a répondu à cette question par la mise en place du GAP, le Projet d’Anatolie du Sud-Est (en turc : Güneydoğu Anadolu Projesi = GAP) est un projet d’aménagement du sud-est anatolien mené par le gouvernement turc pour un coût de 32 milliards $. Il consiste essentiellement à irriguer 1,7 million d’hectares de terres arides à partir de 22 barrages principaux construits sur les bassins versants du Tigre et de l’Euphrate. En parallèle, 19 usines hydroélectriques permettront de fournir 7476 MW. Ce projet devrait réduire de 22 km³ le débit des fleuves Tigre et Euphrate. Le partage des eaux de ces deux fleuves est une source de conflit entre la Turquie, la Syrie et l’Irak, mais nous développerons cela plus tard. Israël a construits des canalisations qui partent du lac Kineret au nord d’Israël au sud.

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