Bilan de l’étude de document sur la ville de Mumbai et son évolution culturelle et démographique

Géographie :

Bilan de l’étude de document sur la ville de Mumbai et son évolution Culturelle et démographique :

Bombay est la capitale du Maharashtra mais surtout la capitale économique de l’Inde, produisant a elle seule 6% du PIB du pays. C’est la deuxième ville la plus peuplée d’Inde avec 12 millions et demi d’habitants et une densité de 20 000 habitants au km2.

Dans cette ville qui s’étant d’années en années, l’urbanisation est tentaculaire, elle se regroupe autours des différents affluents de la ville et s’étire jusqu’à loin dans les terres, loin du quartier historique et de la ville originale de Mumbai, son nom jusqu’en 1995. Cet étalage de la ville démontre un aspect d’aimant, d’une ville remplie de promesses d’emplois et de salaires au-dessus de ceux du reste du pays. Ce qui oblige les nouveaux arrivants à se greffer dans l’un des nombreux bidonvilles qui entourent la ville, de nombreux indiens sont attirés par ces conviction que l’emploi y est plus facile, mieux rémunère et que les chances de grimper l’échelle sociale sont nombreuses, ce qui n’est malheureusement pas le cas, bien que Bombay ait le premier PUB du pays.

Bombay attire, c’est inévitable et incontestable. Les plus grandes fortunes Indiennes y possèdent des appartements et les plus grandes stars bolywoodiennes y ont leurs habitudes, ce qui attire par envi de mimétisme, de nombreux Indiens, qui voient en Bombay une ville miracle qui exauce les rêves les plus fou ainsi qu’une ville regorgeant de richesses et de luxures, les expatries et les stars peuvent effectivement décrire cette ville comme un havre de paix, une oasis de calme et extrêmement bien développée. Malgré le fait que cette vision de la ville de Bombay soit minoritaire, elle est la plus connue à l’internationale, car ceux qui la propagent sont les plus influents. Et décrivent Mumbay comme une ville active, moderne, jeune avec pleins d’activités et de loisirs varies. Mais le quotidien : transport en commun, boulot, bidonvilles ; est celui connu par une immense majorité de Bombayen. Car les Indiens qui habitent dans les campagnes vivent de moins en moins bien et croulent sous toujours plus de pressions des métropoles, le suicides de fermiers est en hausse constante en Inde, ce qui pousse les fermiers qui comprennent qu’ils ne peuvent plus tenir a quitter leurs fermes et leurs champs afin d’aller trouver du travail dans une grande ville.

En Inde, un fosset sépare les “chanceux” des “autres” : en 1014, 10% de la population possédait 55% du revenue nationale dont 22% pour les 1% les plus riches, alors que les 50% les plus pauvres se partageaient 15%. Et cet écart se creuse, car 30 ans plus tôt, les 10% les plus riches s’appropriaient 30% du revenu national totale, dont 6% pour les plus riches, et la moitie la plus pauvre du people se divisaient 24% du revenu national. Cette différence en trente ans montre que même si, de l’extérieur, le pays semble se développer de plus en plus, la partie développée occulte les populations les plus défavorisées ainsi que toutes celles qui ne sont pas en voie de développement. Ainsi, en occultant toutes les populations dans la misère, le pays arrive à montrer au reste du monde qu’il est en voie de développement et qu’il sort doucement la tête de l’eau alors que seulement 10% de la population s’en sors vraiment, laissant plus de 6 millions d’Indiens dans une misère complète, dans une insalubrités insoutenable et dans une position de soumission et de combat constant pour sa survie.

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