Résistance Française

Des formes variées de combat à différentes échelles

Une lutte menée par une minorité de français aux origines sociales et idéologiques variées

Les formes et les risques de la répression

Une difficile unification de la résistance et la reconstruction d’un programme commun

Il y a plusieurs grades à l’échelle des combats :

- La simple hostilité au régime mis en place, la lecture des tracts et journaux résistants (comme Jean Baumel avant 1942). Cela peut également être le boycottage des services proposés par le régime

- Les acteurs qui vont détruire la propagande et gêner le gouvernement en place (comme Marie Reynoard au début de Combat) en publiant des journaux (comme libération, doc1)

- Les acteurs militaires, qui vont combattre directement les forces en place via des opérations de sabotage ou d’attaque sur des points sensibles (comme Raymond Aubrac qui organisait les actions militaires de combat)

Durant l’occupation, 300 000 cartes de combattants ont été délivrées, et seulement 170 000 à des combattants volontaires.

C’est environ 2% de la population française.

Dans les documents nous voyons aux origines sociales différentes réunies par le mouvement résistant Combat :

Un secrétaire d’une grande Mairie (doc2)

Une professeure de lettres (doc3)

Un ingénieur des ponts et chaussées(doc4)

Nous avons également une différence de génération puisqu’ils étaient âgés de 33, 26 et 43 ans en 1940

Marie Reynoard parle de formes de répression qu’elle a subi (doc3)

Un emprisonnement pour de la propagande

Des tortures pour démanteler le réseau résistant

Beaucoup de crimes étaient passibles de peine de mort (sabotage, agressions de soldats, communications avec des pays ennemis …)

Des représailles sont aussi organisées contre les régions dont la résistance est trop active