Discours Berlin John Kennedy

Discours Berlin-Ouest par John Kennedy

Bonjour à tous, je vais vous présenter le discours de Berlin Ouest par John Fitzgerald Kennedy qui était le 35e président des Etats Unis de 1960 jusqu’en 1963 où il fut assassiné sous les balles d'un tireur alors qu'il prenait part à un cortège. Il fit ce discours lors de sa visite à Berlin-Ouest le 26 juin 1963 sur les marches de l’hôtel de ville, à l'occasion des quinze ans du blocus de Berlin. Cette époque-là était marquée par la guerre froide, il y est allé pour déclarer son soutien aux berlinois Ouest vivant enclavés dans l’Allemagne de L’Est communiste et de rassurer les habitants à propos des rumeurs d’une invasion de la RDA (République Démocratique Allemande) dans la RFA (République fédérale Allemande). C’est lors de ce discours qu’il déclara sa fameuse phrase "Ich bin ein Berliner", ces mots indiquent que tout habitant du "monde libre" se sentent solidaire avec les Berlinois des secteurs américain, britannique et français de la ville car en effet ceux-ci sont séparés des quartiers de l’Est par le mur construit en août 1961 par les autorités est-allemandes avec l’accord de L’URSS. Ainsi, ce discours fut l'occasion pour Kennedy de démontrer la supériorité du camp occidental sur le camp soviétique. Lorsqu'il évoquait « litige entre le communisme et le monde libre », il décrivait la guerre froide comme un conflit entre une dictature communiste et la démocratie. Le mur ici témoigne de la faillite de l'idéologie communiste, qui a été forcée d'emprisonner ses citoyens pour les empêcher de s'échapper. Il s'adresse également à ceux du camp occidental séduits par le modèle social communiste. Lorsque Kennedy parlait de ceux qui « prétende que le communisme était l'arme de l’avenir », l'attrait du modèle soviétique qu'il évoquait résidait dans le rêve d'une société égalitaire qui prévalait sur les campus nord-américains dans les années 1960. De plus, le modèle communiste a également séduit les pays nouvellement indépendants dans le cadre de la décolonisation. Donc il les dissuade en leur disant de venir à berlin pour constater les effets néfastes de ce régime comme le manque de liberté par exemple. J’ai choisi ce discours car pour moi il fait partie des plus grands discours de l’histoire. Je l’ai trouvée très convaincant dans ses arguments, sa manière de parler et qu’il faisait aussi circuler un message fort donc de ne pas baisser les bras. Et aussi je l’avais déjà étudié au collège et qu’il m’avait plutôt marqué.

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