Marie Curie

MARIE CURIE

Je vais vous présenter le livre d’Alice Milani, qui s’intitule Marie Curie. Il a été publié en septembre 2019. C’est une bande dessinée biographique, qui a été réalisé pour nous dévoiler les aspects sombres comme joyeux de la vie de Marie Curie. Pour commencer, Maria Sklodowska est née le 7 novembre 1867 à Varsovie en Pologne, qui était à cette époque sous la domination russe. Elle est morte le 4 juillet 1934 en France. Marie est une physicienne et chimiste d’origine polonaise, elle a suivi des études de physique et de mathématiques. Elle a par la suite, développé ses recherches en France. C’est donc un personnage féminin très fort dans le monde des sciences. En effet Marie Curie est connue pour avoir obtenu deux prix Nobel dans deux sciences différentes, et c’est la seule personne au monde à en avoir obtenu deux. Un en physique en 1903, partagé avec son époux, Pierre Currie et Henri Becquerel qui sont tous les deux de grand physicien. Et le second en chimie, qu’elle a obtenue en 1911. Elle est aussi reconnue pour avoir été la pionnière de la place des femmes dans le monde scientifique. Nous allons donc nous demander, comment Marie Curie a-t-elle fait pour devenir une scientifique reconnue mondialement ? Ainsi à travers cet ouvrage, nous allons suivre les chemins qu’a emprunté Marie Curie, les personnes qu’elle a rencontrées, et ce qu’elle a dû surmonter pour s’imposer dans une société ou la femme n’a pas encore sa place dans le monde du travail.

D’abord, l’histoire commence en Pologne, en 1889, Marie a 22 ans et elle vient de finir le lycée à Varsovie, où elle a obtenu une médaille d’or de fin d’études secondaires. On dit que sa famille n’a pas eu de chance car sa mère est morte de tuberculose et son père a perdu son travail. Le père de Marie était le directeur d’une école du centre-ville, c’étaient des personnes qui étaient instruites, il a été licencié par les tsaristes, les cours devaient se passer en russe, mais le père de Marie les faisait en polonais. Et de plus après l’école secondaire les filles ne pouvaient pas continuer leurs études. C’est pourquoi par la suite, Marie est devenue gouvernante dans une famille aisée. Mais c’est une période qui est assez difficile pour elle car elle n’a plus aucune motivation, et elle ne sait pas si elle réussira un jour à réaliser ses projets. Elle se confie donc à sa grande sœur Bronia, en lui envoyant une lettre, qui est-elle à Paris pour ses études de médecine. La réponse de sa sœur l’a aidé à retrouver l’envie qu’elle avait perdue. Elle lui a conseiller d’économiser de l’argent pendant deux ans, et ensuite de venir la rejoindre à Paris pour poursuivre ses études en sciences.                                                                                Nous sommes donc en 1891, et Marie vient de quitter son pays natal, pour venir en France à Paris commencer ses études supérieures, qui ce sont avérer très compliqué. En effet, Marie est venue à Paris pour intégrer la Sorbonne, qui est une université très réputée, encore aujourd’hui, elle y a passé sa première licence de physique, et sa seconde licence de mathématique. Durant ces années Marie à du surmonté tout un tas de remarque sexiste de la part d’hommes. Car il est vrai qu’au XIXème siècle, il était rare qu’une femme puisse continuer ses études. De plus Marie vivait dans de mauvaises conditions. C’était une chambre où il faisait très froid l’hiver et très chaud l’été. Mais malgré tout cela Marie à réussi ses études et faisaient partie des meilleures.  

                                                                                                                                                                           A la fin de sa licence de mathématique, Marie est invitée chez sa sœur, ce fut le jour de la rencontre entre Pierre Curie et Marie Sklodowska. Ça a directement été le coup de foudre entre les deux, je cite « Quand j’ai vu Pierre pour la première fois j’ai pensé : quel bel homme. Avec son air un peu mélancolique, pensif… puis je me suis rendu compte qu’il était très, très intelligent. Une intelligence surprenante. Il portait un regard précis et profond sur les choses. Il était différent de celui de tous les autres. » ce furent les pensées de Marie lors de leur première rencontre. Quand ils étaient ensemble ils ne parlaient que de leurs recherches, ils étaient passionnés. Pierre Curie était enseignant à l’E.P.C.I. (école de physique et de chimie industrielles) il était professeur et avait un petit laboratoire pour ses recherches sur les cristaux. Marie elle, faisait des recherches sur des aciers, donc Pierre lui a proposé de venir dans son laboratoire, pour qu’elle puisse s’aider de ses outils.                                                     Pierre et Marie se voyaient de plus en plus souvent, et un jour Marie lui a fait part de ses projets futurs. Elle voulait, à la fin de ses études, retourner en Pologne, pour servir la cause du progrès social, en enseignant les sciences. Car à Varsovie, des étudiants ont monté un réseau de cours clandestin qui s’appelait « université volante ». Pour elle s’était un projet très important pour le pays. Ces étudiants risquaient la prison car les cours se déroulaient en polonais. Elle voulait améliorer la Pologne, en instruisant les individus. Mais Pierre n’était pas d’accord car pour lui « on ne change pas l’ordre social comme ça, du jour au lendemain » Pour lui, agir du point de vue scientifique en France c’est mieux, car il y a déjà des bases sur lesquelles travailler, et chaque découverte sera une avancée pour le monde. Il essayait de lui dissuader de partir pour qu’elle puisse aussi rester près de lui. En 1895, après avoir partagé le laboratoire pendant 1 an Pierre et Marie Curie se sont marié. Quelque temps plus tard, leur petite fille Irène est née. Malgré sa volonté de vouloir changer sa Pologne bien-aimée, Marie ne pouvait supporter l’idée d’être loin de son mari.      

A Paris en 1896, Becquerel a découvert que l’uranium émet des rayons qui traversent la matière sans aucune énergie externe. Après avoir lu l’article de Becquerel, Marie Curie décide de faire un doctorat sur l’uranium. Elle commence donc ses recherches mais les conditions de travail dans le laboratoire sont horribles, il faisait 6 degrés à l’intérieur du laboratoire. Pour se procurer son premier échantillon de minerai, Marie est allée voir Henri Becquerel, elle choisit de la pechblende. En 1898, Marie découvre que deux minerais d’uranium : la pechblende et la calcholite sont beaucoup plus actives que l’uranium lui-même. Et qu’il y a un autre élément qui se cache dans l’uranium. Pierre Curie lui propose donc son aide, pour l’aider à découvrir ce nouvel élément. Marie est comblée et elle lui dit que s’ils réussissent à le trouver elle souhaiterait l’appeler : polonium.  Durant ses recherches, Marie Curie était souvent en conflit avec le directeur de l’école car, il se plaignait de sa façon de travailler, il ne lui fournissait pas les équipements nécessaires, et que son laboratoire n’était toujours pas adapté pour ses expériences. Après 9 ans de recherches et d’expériences, en 1903 à la Sorbonne, Marie Curie présente une nouvelle méthode de recherche chimique, qui lui a permis de découvrir le radium et le polonium. On remarque aussi qu’Irène dès son plus jeune âge, montre un réel intérêt aux travaux de ses parents, et pause énormément de question, que ses parents prennent le temps de lui expliquer. Elle a grandi entourer des plus grands scientifiques.                                                                                                                              

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