LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Pierre Et Marie Curie

Note de Recherches : Pierre Et Marie Curie. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Mai 2014  •  2 489 Mots (10 Pages)  •  1 041 Vues

Page 1 sur 10

Tables des Matières :

I. Introduction

II. Marie Curie

1) Jeunesse

2) Études

III. Pierre Curie

1) Jeunesse

2) Études

IV. La collaboration

1) La rencontre

2) Les recherches

a. le rayon x

b. le polonium et le radium

3) Le prix Nobel

V. Marie sans Pierre

1) Le décès de Pierre

2) Les travaux

3) La fondation Curie

4) Le décès de Marie

VI. Conclusion

VII. Bibliographie

I. Introduction

Ce travail sera basé sur une recherche à propos de la vie de Pierre et Marie Curie. Couple mythique du XVIIIe siècle, qui a laissé un grand impact dans l’histoire de la physique. Premièrement, je vous renseignerais sur la jeunesse et les études de chacun de ces personnages historiques. Ensuite, je vous parlerais de leur rencontre, les affinités et les travaux entrepris à deux. Je parlerais des prix Nobel gagnés. En dernier lieu, je vous parlerais de la fondation Curie, la vie et les travaux de Marie après le décès de son époux, Pierre.

II. Marie Curie

1) Jeunesse

Marie Curie est née le 7 novembre 1867, à Varsovie, sous le nom de Maria Salomea Skłodowska. Son père, Wladyslaw Sklodowski, est professeur de mathématiques et de physique et sa mère, Bronislawa Boguska-Sklodowska, est institutrice. Elle est la petite dernière d’une famille, qui compte déjà un garçon, Jozef et trois filles, Sofia, Bronislawa et Hélène. Ses parents attachent une grande importance à l’éducation de leurs enfants et exigent de leur part un grand sérieux, une application exemplaire, ainsi qu’une pratique assidue des devoirs religieux. Marie reçoit ses premières leçons de physique de son père, qui enseigne cette matière en plus des mathématiques. A la naissance de Marie, sa mère démissionne de son poste de directrice d’école qui lui permettait de bénéficier d’un logement de fonction. La famille déménage donc dans une école de garçon, dans laquelle le père de Marie reçoit un salaire plus intéressant. Quand Marie a sept ans, sa sœur ainée, Sofia, décède du typhus, en 1876. Moins de trois ans plus tard, sa mère meurt de la tuberculose. Marie devient plus réservée, timide et nerveuse. Elle ne croit plus en Dieu.

2) Études

Le père de Marie donne à ses enfants une éducation soignée. Le samedi soir, il leur lit les grands classiques de la littérature et les initie au maniement des appareils scientifiques qu’il utilisait pour enseigner. Première de sa classe, Marie est une élève modèle, appliquée et très intelligente. Non seulement les décès successifs de sa sœur et de sa mère ne l’ont permit d’obtenir d’excellents résultats scolaires, mais aussi, elle se réfugie à corps perdu dans le travail. A quinze ans, en juin 1883, elle reçoit son diplôme de fin d’études secondaires avec une médaille d’or. En 1884, lorsque Marie revient à Varsovie après un an de convalescence, elle a envie de se remettre au travail. Elle souhaite faire des études, comme son frère Jozef qui est inscrit à l’Université de médecine de Varsovie. A l’époque, les femmes ne sont pas admises dans les universités polonaises. Elle et sa sœur Bornia décident de rejoindre des amis à l’Université « volante ». Cette institution illégale consiste à effectuer les cours à chaque endroit différent, pour échapper aux russes. Les cours ont lieu la nuit. Chacun enseigne aux autres ce qu’il connaît le mieux. Elle est engagée comme gouvernante en province dans le but d’économiser pour rejoindre sa sœur aînée, Bronia, qui est parti faire des études de médecine à Paris. En 1891, elle arrive à Paris pour entreprendre des études de sciences physiques et de mathématiques à la Sorbonne. Marie vit quelque temps avec sa sœur et l’époux de celle-ci. Ils habitent loin de la Sorbonne. Marie perd 2 heures par jours dans les transports. Elle décide de déménagé dans une petite mansarde proche de la Sorbonne. Elle y bénéficie de l’enseignement de physiciens et de mathématiciens comme Gabriel Lippmann, Marcel Brilloin, Paul Painlevé et Pau Appell. En juillet 1893, elle obtient sa licence en sciences physiques et est la première de sa promotion. Pendant l'été, elle reçoit une bourse. Un an plus tard, elle obtient sa licence en sciences mathématiques. Début 1894, elle rejoint le laboratoire des recherches physiques de Gabriel Lippmann. La Société d'encouragement pour l'industrie nationale lui confie des travaux de recherche sur les propriétés magnétiques de différents aciers.

III. Pierre Curie

1) Jeunesse

Pierre Curie est né le 15 mai 1859 à Paris. Il est le fils d’Eugène Curie, médecin protestant, et de Sophie-Claire Depouilly. Il a un frère aîné, Jacques Curie, avec qui, il découvre la piézoélectricité. Pierre Curie ne fréquente ni l'école, ni le lycée car l'enseignement n’est pas encore obligatoire en France.

2) Études

Il est instruit par ses parents. Sa mère lui a appris à lire et à écrire. À quatorze ans, ses parents l’ont confié à un professeur particulier. Il est un ami de la famille, M. Bazille. Celui ci enseigne les mathématiques. Pierre développe un intérêt pour les sciences. En novembre 1875, il est âgé de 16 ans et passe son baccalauréat en sciences. À 18 ans, il passe sa licence de physique à la Sorbonne. Pour manque d’argent, il ne peut poursuivre son doctorat. Il devient instructeur de laboratoire. Il étudie en collaboration aves son frère Jacques sur les propriétés des cristaux. En 1880, ils observent la piézoélectricité : une pression exercée sur un cristal de quartz créé un potentiel électrique. Encouragé par son

...

Télécharger au format  txt (15.9 Kb)   pdf (159.8 Kb)   docx (15 Kb)  
Voir 9 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com