Le coup de force de prairial de l'an VII
Dissertation : Le coup de force de prairial de l'an VII. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 12 Novembre 2012 • Dissertation • 341 Mots (2 Pages) • 1 381 Vues
kjhjkh,n ,nnnn,,n,nt ils savaient qu'ils allaient remporter des élections de 1798. Ils organisèrent un coup de force légal pq il fut fondé sur deux lois, loi qui prévoyait que les nouveaux élus ne pourraient pas participer à la vérification de leurs pouvoirs. Une autre loi permettait d'annuler les élections de députés réputés anarchistes, c à d députés accusés de vouloir renverser la C°. Aussi grâce à ces lois, l'élection de nombreux députés jacobins fut annulée.
Ce coup de force qui value une très forte impopularité aux directeurs et au mm moment les directeurs étaient également critiqués en raison des défaites militaires fr dont ils étaient tenus responsables. Le contexte était donc très défavorable au G du directoire.
Le coup de force de prairial de l'an VII
Ce coup de force du 18 juin 1799 est celui que l'on appelle la revanche des conseils puisque cette fois on assiste à un coup de force des conseils contre les directeurs. En 1799, les élections n'avaient pas été annulées et le courant jacobin avait remporté à nouveau les élections. Ils voulaient venger les députés de floréal et donc les conseils vont forcer trois directeurs à démissionner et les remplacer. Il s'agit des trois directeurs qui avaient préparé le coup de force de floréal. Alors les conseils vont s'appuyer sur les dispositions juridiques de la C° de 1795 non seulement les conseils attaquent pour inconstitutionnalité l'élection du directeur Treuilhard élu au directoire moins d'un an après sa sortie du CL et donc cette élection violait les dispositions de la C° et dc il démissionna.
Encouragés par cette démission, les conseils obligèrent deux autres directeurs à démissionner et cela par la menace. Ils les ont menacé d'une mise en accusation devant la haute cour de justice pour complot contre les conseils. Au sein du directoire, seuls deux directeurs n'avaient donc pas du démissionner et l'un deux était Sieyès nommé juste avant le coup de force de prairial en mai 1799. C'est lui qui va penser le dernier coup d'É du directoire, celui du 18 brumaire an VIII.
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