J'ai trop aimé la guerre...L'Histoire, n°36, avril 2013
Commentaire de texte : J'ai trop aimé la guerre...L'Histoire, n°36, avril 2013. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar marjoriesle • 15 Novembre 2020 • Commentaire de texte • 1 140 Mots (5 Pages) • 1 061 Vues
J’ai trop aimé la guerre… , L’Histoire,n°386, avril2013
Joël Cornette l’auteur de cette article est un historien qui a fait ses études aux lycées de Saint-Marc et de Kérichen, en lettres supérieures. Il était élève de l'Ecole normale supérieur de Fontenay-Saint-Cloud , et a passé l'agrégation en 1974. Il obtient son doctorat en histoire en 1982, à l'Ecole des Hautes études en sciences sociales.
Joël Cornette a été successivement professeur au lycée de Gonesse, puis chargé de cours, assistant et maître de conférences à l’Université Paris 1. Depuis septembre 2017, il est professeur émérite des Universités.
Depuis 1993, il fait partie du comité scientifique de la revue l’Histoire, une revue mensuelle destinée au grand public, elle diffuse des connaissances, des idées,consacrée à l’histoire, a un publique non expert. La revue publie des articles et des dossiers auxquels participent des historiens. Joel Cornettte écrit beaucoup d’articles ; dont J’ai trop aimé la guerre… paru dans la revue mensuel n°386 en avril 2013, que nous qllons étudié.
Cette article répondra à la problématique quel est le rapport entre Louis XIV et la guerre ?Pour répondre à ça nous allons divisé notre raisonnement en plus ou moins 4 partie c’est a dire, une introduction expliquant le contexte, « Le combat » expliquant d’où commence l’amour de Louis XIV pour la guerre , « Le secret de son cabinet » qui explique comment gérait-il la guerre depuis Versailles , « Une volonté personnelle » qui montre que Louis XIV a été belliqueux puis les « déficits vertigineux » expliquant les conséquences des guerres de napoléon et notamment celle de Hollande.
Cette article commence par une introduction expliquant le contexte en citant des paroles, écrite par voltaire, que LouisXIV aurait prononcé à son petit fils sur son lit de mort. « faites ce que j’ai eu le malheur de ne pas pouvoir faire moi-même ». Il insinue ne pas avoir assez penser au bien de son peuple. Plusieurs versions de ces paroles sont disponibles et toutes se rejoignent que la guerre a été trop importante dans la vie de LouisXIV. D’ou « J‘ai trop aimé la guerre ».
La deuxième partie intitulé « Le combat » nous explique que son amour pour la guerre a commencé dès le plus jeune âge car il fut initié à l’apprentissage des combats a l’âge de 8ans.
Depuis l’année de son sacre il était présent sur les champs de bataille car cela lui paraissait légitime et faisait partie de son rôle « il a toujours considéré sa présence sur le théâtre des combats à la fois comme une nécessité et une attente de sa noblesse »
Cependant en 1993 il décida de ne plus apparaître sur les champs de bataille et de rester a Versaille pour mieux diriger l’État. Cette décision surpris autant les soldats que le peuple.
Dans le secret de son cabinet, nous explique qu’il continuait malgré tout a dirigé les soldats depuis Versaille avec les aides de ses hommes. Il se servait notamment du courrier pour communiquer avec les soldats les ordres, les depêches…
Après chaque batailles sa majesté s’assurait de recevoir des rapports, il lui est même arrivé d’en conté une après une bataille en 1712. Cela le rapproché de son peuple tout en étant actif sur l’organisation militaire.
Pour ce faire il comptait beaucoup sur son secrétaire de guerre à qui il donnait de plus en plus de responsabilité. Il essayé toujours d‘amélioré
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