Une si longue lettre
Résumé : Une si longue lettre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar inesANDRIANNE • 12 Octobre 2021 • Résumé • 1 069 Mots (5 Pages) • 495 Vues
Atelier d’écriture : amplification à partir d’une peinture :
Les demoiselles du village de Gustave COURBET (1852)
Brouillon :
Maria, Laura et Anne-Lise sont les trois demoiselles que vous voyez sur la peinture. Celles-ci sont assez connues au village, elles se disent être amies mais beaucoup de gens les soupçonnaient d’être sœurs. Enfin, cette rumeur a vite arrêté d’exister mais pourtant George Pivard, lui, veut connaître la vérité, il est persuadé que ces trois jeunes femmes cachent quelques choses. Leurs gentillesses, leurs bontés et leurs générosités cachent forcément un secret.
En effet, quand la rumeur a commencé à faire parler d’elle sur le faite qu’elle soient toutes les trois sœurs, toutes personnes qui s’y seraient intéressées auraient disparus comme par magie, ce qui perturbe George c’est que personne au village n’a l’air de s’en inquiéter, hors le village de Sosoye n’est pas tellement grand, tout le monde se connaît bien ici. Par exemple, quand George parle de Angelina, sa femme, disparue il y 6 mois, personne n’a l’air de l’avoir déjà connue au village, hors Angel, comme George adorait l’appeler, était le pilier de ce village, elle tenait la bibliothèque à côté de l’église. Et puis, il y a Rosita, la commère du village, elle savait tous sur tout, elle tenait un salon de thé juste à côté de la boulangerie, elle aussi, personne ne se souvient.
Durant des semaines, George a pensé être fou, mais après, il s’est rendu compte que toutes ses disparitions avaient un lien, toutes les personnes malencontreusement oubliés de la société s’étaient intéressées de près ou de loin par les fameuses « demoiselles du village ». Alors, il s’est mis à s’y intéresser lui aussi mais de manière discrète.
Tout d’abord, il essaya de compter le nombre de personnes de disparues depuis l’annonce de cette rumeur tueuse, comme George la surnomme. Le résultat fut terrifiant, 25 personnes disparues ou plutôt oubliés de la population. Vous vous dites peut-être que 25 personnes, ce n’est rien mais pour le petit village qui est Sosoye, c’est un nombre énorme. Comment se fait-il que personne ne s’en rend compte ? Pourquoi moi je me souviens de ces gens ? Énormément de gens ont perdus les époux ou leurs épouses comment ont-ils fait pour les oubliés aussi rapidement ? Toutes ces questions, George se les posent presque tous les jours depuis sa découverte. Il est décidé à découvrir ce que cachent ces trois mystérieuses demoiselles.
Tout d’abord, il se renda dans la bibliothèque de sa femme afin d’en savoir un peu plus. Il fouilla dans les archives et il y trouva une peinture du 18e siècle faite dans un village situé en Allemagne, peinte à la perfection avec des traits clairs, nets et hyper précis. Il remarqua que les trois dames ressemblent terriblement aux trois sœurs. A coté d’une des dames se trouvait un enfant, qui avait l’air de réclamé à manger. Ce qui rappelle à George la journée organisée une fois par an par les sœurs.
Cette journée consiste à donner à manger aux enfants démunis. En effet, ces trois dames sont très généreuses, ce qui inquiète George. Il pense que cette générosité abusive cache forcément quelque chose. Après une observation plus détaillée de la peinture, George n’a plus de doutes, les trois femmes sur cette peinture datant de 1745 sont bien les trois personnes qui enlèvent ou plus tôt font disparaître les gens de ce village.
Trois jours se sont écoulés depuis la découverte de George, il est persuadé que Maria, Laura et Anne-Lise sont enfaite des sorcières immortelles venues pour semer la terreur. Il pense que toute personne qui était sur le point de les démasquées, ont été tué et qu’elles leur ont jetés un sort pour que personne ne se rendent comptent de leurs disparitions. Vu que George n’est pas une personne bavarde et qu’il n’est pas spécialement connu au village, les trois « monstres », comme George les appelle, ont dû l’oublier, c’est donc pour ça qu’il n’a rien oublié.
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