Torture au 18ème siècle
Analyse sectorielle : Torture au 18ème siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 2 Octobre 2013 • Analyse sectorielle • 634 Mots (3 Pages) • 1 078 Vues
Exposé :
La Torture au XVIIIème siècle
C’était une punition courante des esclaves dans l’Antiquité, mais ce n’était alors que le fouet, le plus souvent. Les formes de tortures évoluèrent beaucoup au moyen-age en effet, c'est durant cette période ayant précédé la Renaissance qu'on a pratiqué le plus grand nombre de tortures, à un point tel qu'en étudiant les supplices de cette époque, on se rend compte que le sadisme de l'homme n'a d'égal que son imagination. Cependant, il serait faux de croire que ces techniques inhumaines ne se pratiquent plus. Encore aujourd'hui, on pratique la torture dans de nombreux pays, bien souvent en fermant les yeux et bien que la Convention de Genève de 1949 interdise de faire subir une quelconque forme de sévice corporel à un détenu.
Pourquoi torturer? Pour plusieurs raisons, la principale étant bien sûr de faire payer un criminel en lui infligeant des souffrances. Cependant, à travers l'histoire, les justifications derrière la pratique de la torture ont changé. Ainsi, au Moyen Âge, on a notamment pratiqué la torture pour des crimes de sorcellerie ainsi que des crimes de lèse-majesté. On torturait aussi pour obtenir des aveux. Aujourd'hui, la torture se pratique surtout dans le but d'obtenir des confessions (bien souvent fausses, l'individu désirant simplement mettre un terme à ses souffrances) ainsi que pour punir.
Malgrès, les raisons de pratiquer la torture il y avait malgrès tout un certain plaisir sadique de la part des bourreaux et des spectateurs.
Certaines pratiques de torture physique :
Le supplice du garrot : une torture moins connue, mais souvent utilisée au Moyen Âge dans les mises à mort. On faisait asseoir le condamné en lui attachant solidement les bras. Puis, on passait autour de son cou un collier de fer se terminant par une vis et s'activant par une manivelle. Plus le bourreau tournait celle-ci, plus la strangulation s'opérait. Une mort par étouffement lente et douloureuse...
L'écartèlement : Le condamné était allongé sur une longue table. Puis, le bourreau actionnait une manivelle afin d'étirer les extrémités de l'individu. Parfois, il arrivait que les muscles du condamné soient coupés afin d'éviter des dislocations trop rapides...
La chaise à clous : On assoyait le condamné sur une chaise garnie de clous. Même si l'individu pouvait demeurer en vie un certain temps et empêcher que les clous ne s'enfoncent trop dans sa peau, le temps et la fatigue finissaient par avoir raison de lui...
La cuisson (ébullition) : On plongeait simplement le condamné dans de l'eau qu'on faisait ensuite bouillir. On pouvait aussi remplacer l'eau par de l'huile. Cette torture, notamment pratiquée en Chine ainsi qu'en France, servait à punir les faux-monnayeurs.
L'arrachage de peau : Cette torture consistait à enlever de grands bouts de peau, à froid. Puis, le bourreau appliquait sur la chair du sel, du vinaigre et même du plomb chaud. Ce supplice fut notamment utilisé sur les galères en route vers le Nouveau Monde.
Les tortures morales sont aussi
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