Opération de code secret " T4 "

C'est dans le milieu de l'année 1939 que Hittler planifie le programme d'euthanasie. Afin de protéger le service médical, Hittler signa fin 1939, une autorisation secrète en cas de poursuites. Cette opération secrète reçu pour nom de code « T4 ».

Le programme consiste à exterminer toutes personnes souffrant d'un handicape physique ou mentale quel qu'ils soient.

Les victimes de l'opération T4, étaient des adultes comme des enfants souffrant d'un déficit mental ou physique, les médecin de l'organisation les examinaient rarement, ils se basaient seulement sur leurs dossiers médicaux provenant de leurs anciens établissements. LEA .

Lorsque les patients arrivaient, ils étaient sélectionnés, « les malades, les handicapés étaient transportés comme des sacs à ordures et mis de côté avec les valises cassées, avec les

caisses » comme le témoigne Léo Schneiderman, survivant des camps et présent sur les lieux. Puis ils étaient conduit par le personnel du T4 au «  sanatorium », qui était un centre de gazage. On annonçait aux victimes quelles allaient passer les testes physique et quelles devaient aller prendre une douche désinfectante.

En vérité elles allaient dans des chambres à gazages et étaient tuées avec du monoxyde de carbone pur.

Par la suite leurs corps étaient incinérés dans les fours crématoires.

Puis les cendres des victimes étaient mises dans un tas commun et placées dans des urnes sans aucunes identifications précises. Ensuite une urne était envoyée a la famille de chaque victime, accompagnée d'un certificat de décès indiquant une date ainsi qu'une cause fictive du décès. Le témoignage de Robert Wagemann, lui aussi survivant, nous permet de constater comment les enfants étaient sélectionnés:

« Ma mère et moi avions été convoqués dans un service de la clinique universitaire de Heidelberg, à Schlierheim, où on m'a examiné. Pendant l'examen, ma mère attendait à l'extérieur de la salle, et elle a entendu les docteurs dire qu'ils allaient s'occuper de moi,qu'ils allaient me "abspritz", ce qui signifiait qu'ils allaient me faire une piqûre et me faire dormir. Ma mère a entendu la conversation et pendant l'heure du déjeuner, alors que les docteurs étaient partis, elle m'a attrapé, nous avons longé la Neckar River, passant à travers les hauts roseaux, et elle m'a habillé, et de là nous sommes partis nous cacher parce que nous savions à présent qu'ils allaient nous chercher. Alors, nous sommes allés dans la maison du père de mon père où nous sommes restés jusqu'à ce que je commence l'école. »

Des le plus jeune age les handicapés étaient examinés et exterminés. Robert Wagemann a eu de la chance de pouvoir fuir, car autrement il serait certainement mort a l'âge de cinq ans.

La mort soudaine de plusieurs personnes placés dans des institutions, avec des causes et des dates similaires sur leurs certificat de décès, provoqua alors de nombreuses suspicions.

Très vite, le programme d'euthanasie fut connu de tous dans le cercles allemand.

C'est seulement en fin 41 que Hitler ordonna l'arrêt

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