L'Algérie des années 1980

Exercice 7 p 225 

• Pour que ce yaourt aux fraises arrive sur la table du consommateur, le yaourt a plus ou moins réalisé un voyage de 8287 km. Ce résultat peut évoquer un problème au niveau du coût de production mais aussi le transport qui peut avoir un impacte environnemental. Mais le transport à également une certaine durée qui réduit la sa date de péremption, les produits sont alors jeter plus rapidement.
• Pour limiter l’impacte de ce problème il faudrait inciter le consommateur à consommer des produits artisanaux et locaux.

Exercice 5 p 224 : ROC

L’accroissement de la population mondiale et la modification des habitudes alimentaires provoquent une hausse de la demande en produits alimentaires et plus particulièrement en produits animaux. Pour répondre aux attentes de la population mondiale, il faut augmenter la surface cultivée mais aussi la productivité des cultures ce qui accentuera la pression sur les écosystèmes naturels. Un nouveau défi s’impose donc mais s’oppose à la préservation durable de l’environnement.

Les conséquences de nos choix alimentaires :

La demande en produits animaux augmente considérablement mais pour répondre à cette demande de nombreux facteurs entrent en jeu. En effet, 1 kilogramme de viande nécessite 10 kilogrammes de végétaux qui eux-mêmes nécessitent environ 16m2 de sol cultivé et 13 000L d’eau. Selon différents critères, la contribution de nos aliments au réchauffement climatique, ou bilan carbone est plus ou moins élevée or le bilan carbone des produits animaux est très défavorable par rapport à celui des produits végétaux. Les élevages industriels participent alors à la dégradation des écosystèmes continentaux et océaniques. Ainsi cette tendance mondiale à une alimentation animale engendre un impact environnemental négatif.

Les solutions pour faire face à ce défi en préservant le durabilité de l’environnement :

• L’amélioration génétique des plantes cultivées pourrait permettre de réduire l’utilisation de pesticides, de valoriser de nouvelles terres et ressource en eau ou encore d’améliorer certaines qualités des aliments.
• L’agriculture de précision, fondée sur l’utilisation de hautes technologies, pourrait permettre de maximiser les rendements, tout en diminuant les gaspillages et pollutions.  (Farmstar)
• L’agroforesterie, fondée sur des pratiques traditionnelles modernisée, pourrait permettre de lutter contre l’érosion des sols et le changement climatique, de protéger les forêts et la biodiversité naturelle.
• L’agriculture paysanne, pourrait renforcer les liens de solidarité entre les villes et campagnes, produire des aliments plus sains et participer à la protection de l’environnement.

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