L'essor démographique et agricole

Chapitre 1 : L’essor démographique et agricole

I/ La révolution démographique

Il n’y pas de registre précis. On en a pas.

C’est pour cela qu’on trouve des chiffres très différents.

On fait des recensement fiscales, par exemple le « Domesday book », on a quelques informations qui permettent d’avoir quelques chiffres, grâce au Duc Guillaume de Normandie.

La progression de la population entre le 11e et le 13e :

- Angleterre 1,5 à 3,7 millions.

- France 6 à 15 millions.

- Domaine germanique et italien 5 à 10 millions

Dans l’ensemble l’europe occidental double. Ce phénomène ne sera plus jamais reproduit, jusqu’à la révolution industrielle.

Cette tendance s’explique par une hausse de la fécondité. On est passé de 4 à 5/6 enfants par couple en moyenne. La mortalité recule car les grandes famines sont plus espacées puis disparaissent, on voit dans l’écriture des chroniqueurs, on a plus de description épouvantable. Au pire il y a des disettes localisés sur la période 1100-1300.

L’espérance de vie connaît une hausse significative elle est de 35 ans en 1300.

Cela peut paraître court, mais c’est la première année d’existence qui est particulièrement dangereuse. Si on passe la première année c’est que l’on est résistant.

On a des régions très peuplés, la Flandres et le nord de l’Italie. Et on a des régions désertes.

440 000m² c’est le royaume de France. On a une densité de 8 feu ( feu = foyer fiscal) au km².

Cela corresponds à 40 habitants. Le midi et l’ouest compte 15 à 35 hab/km²

La vrai coupure au niveau démographique se situe au 14e siècle, pourtant les populations avaient mis en place des mécanismes d’auto régulation. Pour éviter le grossissement de population on retarde le mariage, on multiplie le célibat, et pourtant la misère commence à apparaître au début 14e siècle avec des famines.

II/ Les progrès agricoles.

Le réchauffement climatique du début du 10e jusqu’à la fin du 13e permet ses progrès. Les glaces reculent donc cela facilite l’élevage montagnard. Le niveau des eau souterraine s’élève donc les villages ont accès à des points d’eau.

Les conditions sont réunis pour que la céréaliculture soit optimales en Europe du Nord. Les hommes prenne également leur destin en main.

Le territoire humanisé, l’enporte sur les zones IN____ alors que vers l’an 1000, les friches représenté les 3/4 du sol.

c’est une révolution dans l’agriculture.

Cette extension à lieu en 3 :

11e siècle , grapille du territoire. Les villages vont s’accroitre par proximité. Il se dvp au-delà de leur domaines cultivés.

12e , la conquête est plus franche. Les établissements villageois monastiques vont colonisés les zones anciennement vierges. Ici, il faut noter l’importance fondamental des moines cisterciens. On va en plein milieu d’une forêt pour transformer ce territoire en zone cultivable

Jusqu’a la du 13e, on mets en culture des territoires peu propices, comme les montagnes, les marécage. Apparition des digues sur les côtes.

La culture des céréales va donc enregistrer une hausse régulière des rendements.

Vers 1000, le rapport était de 2 pour 1 c’est-à-dire 2 grains engrangé pour 1 planté.

En 1200, il est de 4 ou 5 pour 1 planté. Voir 6 ou 8 en picardie.

Un sol très fertile, pour une exploitation intensive.

On s’améliore parce qu’on utilise les engrais animaux de mieux en mieux. Et on choisit mieux les céréales par rapport à la région, c’est une agriculture raisonné.

Le froment, qui est un gland, plus exigent pour le sol va donner une farine plus fine et de meilleure conservation.

Le seigle, en revanche connaît un rendement moindre mais moins aléatoire. Elle peut transmettre la maladie de saint-antoine, à cause d’un parasite.

L’orge, est destiné à la nourriture animal. Sert à nourrir les chevaux, et à faire de la bière.

A la base on dans un assolement biennal consiste à mettre en culture chaque parselle chaque sol ? Ce système se dvp en système triennal avec le système de la jachère. L’assolement triennal s’impose au nor de la Loire, une part en jachère , une part semé en céréale d’hiver, et une part en céréale de printemps. Ce système permet deux récoltes et contre balance le système climatique. Cela contribue à souder la communauté villageoise. On prend mesure de la communauté qu’on représente, la population s’organise.

Un peu partout on continue sur trois labours annuel, la terre reste sale, les rendement

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