L'influence Grecque sur Rome

l'influence grecques sur Rome

les romains ne doutaient pas de leur supériorité sur tous les autres peuples qu'ils considéraient comme des barbares. Par ailleurs, les Grecs considéraient aussi les romains comme des barbares car ils buvaient du vin pure alors que les Grecs le buvaient coupé à l'eau, comble du raffinement!!

Les contacts entre monde grec et romain n'ont pas toujours été simples. Lorsque le monde romain commença son extension il rencontra en méditerranée le monde grec et pour la première fois, les romains ont été confronté à une culture capable de les égaler, voire de les surpasser... Ces influences grecques dans le monde romain ne se sont pas faites sans mal, pendant un certain temps Rome fut divisé entre deux écoles, les pro-helléniques menés par Caton le Censeur(il me semble) et les anti-helléniques. Les plus grandes familles de Rome s'entretuaient à propos de cette intégration ou non de l'hellénisme dans le monde romain. COmme l'a dit Epona, bcp de villes en Italie étaient des colonies grecques comme Néapolis (Naples) donc le monde romain n'a pu rejeter éternellement cette influence. Plus tard les romains vont même modifier leur mythologie pour se rapprocher des héros grecques en faisant d'Enée, héros grecque par excellence, le fondateur de Rome. Je pense que les romains ont reconnu dans le monde grecque une culture qui lui ressemblait aux ambitions démesurées.

Comment ne pas avoir de respect pour une culture qui brilla dans le monde méditerranéen pendant plus de XXV siècle, le monde romain faisait figure de bébé à côté de ce vieux sage...

Les grâces avaient aussi d'excellentes écoles philosophiques et n'oublions pas que la sagesse faisait partit des grands qualité que devait posséder un souverain.

autre source

Présente à Rome depuis les origines, elle devient très importante au II° siècle avant J.C., après la conquête des monarchies hellénistiques de l'Orient . L'empire romain est désormais un état bilingue, comportant plusieurs provinces de langue grecque. Parler grec devient donc une nécessité politique: les hommes d'état romains doivent pouvoir s'adresser en grec à leurs administrés. Mais l'aristocratie romaine se rend vite compte aussi de l'intérêt que présente l'éducation grecque, centrée sur la rhétorique, pour une carrière politique. Elle en vient alors à se passionner pour l'ensemble de la culture grecque. Peu à peu se développe à Rome un philhellénisme général: les conférenciers grecs, venus à Rome pour des missions diplomatiques, reçoivent un accueil enthousiaste. Cet engouement se heurte d'ailleurs à l'hostilité virulente d'un certain nombre de Romains traditionalistes (Plutarque, Caton l'Ancien), qui craignent que la culture grecque n'amollisse et ne corrompe la "virtus" romaine (Plutarque, Caton l'Ancien). L'aristocratie romaine donne fréquemment à ses enfants une éducation grecque très poussée (Plutarque, Paul Emile). Elle dispose pour cela de nombreux esclaves grecs que la conquête lui a procurés, le plus illustre d'entre eux étant l'auteur de comédie, Térence. Il y a aussi beaucoup d'hommes libres qui viennent

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