Athènes, au V-IVéme siècle avant notre ère, une démocratie ?
Analyse sectorielle : Athènes, au V-IVéme siècle avant notre ère, une démocratie ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Elisa Péméant • 29 Janvier 2018 • Analyse sectorielle • 495 Mots (2 Pages) • 781 Vues
Elisa Péméant 2nd1
« Athènes, au V-IVéme siècle avant notre ère, une démocratie ? »
Dans cette analyse de document, on va dire si d’après le texte d’Aristote Athènes au V-IV e siècle avant notre ère est une démocratie. Ce document parle de la condition des esclaves durant la Grèce antique, ces derniers sont comparés aux animaux. L’auteur de ce texte, Aristote, est un philosophe de la Grèce antique, il a vécu de 384 avant Jésus Christ à 322 avant Jésus Christ. La nature de ce document est un texte écrit vers 330 avant Jésus Christ. Le destinataire de ce texte sont les citoyens d’Athènes possédant des esclaves. Ce texte parle des conditions dans lesquelles ils vivent. On nous apprend aussi que les esclaves ont une carrure faite spécialement pour les esclaves. « La nature […] les occupations de la guerre et celles de la paix » (lignes 5 à 9). Ensuite ce texte veut faire comprendre que les grecques utilisent les esclaves pour des raisons indispensables et que les grecques ne font pas la différence avec les animaux domestiques et les esclaves. « […] le secours que nous attendons de la force corporelle […]. » (Lignes 2 à 4). La source de ce document est Politiques livre I et II.
Tout d’abord, on peut dire que Athènes au V e siècle avant notre ère n’est pas une démocratie. En effet, alors que Athènes compte au moins 300 000 habitants moins de la moitié de la population ne sont pas citoyen d’Athènes (pas moins de 40 000 non citoyens). En plus de cela, il n’y a que les hommes (né de père Athéniens puis de père et mère athéniens) qui peuvent devenir citoyens ce qui veut dire que les femmes, enfants et esclaves n’ont pas accès au privilège d’être citoyens.
Les esclaves, d’après le texte d’Aristote, sont traité bien d’une pire manière que les animaux. En effet, le philosophe décrit bien ce phénomène. « L'usage que nous faisons des esclaves ne s'écarte que peu de l'usage que nous faisons des animaux » (ligne 1à2) Ensuite, il dit aussi que les esclaves sont nés esclaves. Or dans une démocratie tout le monde est égal. Il dit aussi que les esclaves sont nés avec une carrure que seuls les esclaves ont pour travailer dans les champs ou autre part. « La nature tend assurément à faire les corps d'esclaves différents de ceux des hommes libres [..] occupations de la guerre et celles de la paix »(ligne 4 à fin ).
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