La sécurité et le développement
Étude de cas : La sécurité et le développement. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 19 Avril 2013 • Étude de cas • 1 272 Mots (6 Pages) • 1 068 Vues
Introduction :
D’ailleurs nul ne peut nier qu’il existe une relation entre la sécurité et le développement. La sécurité influe sur le processus de développement des pays. Par contre l’insécurité perturbe les pays et empêche la réalisation des programmes de développement. Par ailleurs, c’est la sécurité qui procure le bien-être des populations. Un pays qui ne connaît pas de sécurité politique, économique et social ne peut prétendre au bien être. Les trois facteurs sont intimement liés, c’est à dire assurer la sécurité nationale pour soutenir le processus de développement qui amène au bien être social.
Dans le cadre de cette conférence, le concept de sécurité est pris dans le sensé de la sureté qui concerne la sécurité sociale, c'est-à-dire la sécurité des personnes, le droit de chaque individu a se sentir en protection ,c’est l’obligation de l’état de protéger les citoyens pour prévenir toute infractions et danger . Cependant, nous ne perdons pas de vue que la sécurité englobe tout ce qui est la sécurité politique c'est-à-dire stabilité politique , démocratie , sécurité alimentaire celle qui veille (sur LA VOLATILITÉ DES PRIX DES DENRÉES DE BASE ALOURDIT LES CHARGES DE COMPENSATION , LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES , Réduction des Terres CULTIVABLE ) de nos jours tout ces éléments se sont transformer en besoins secondaires car le citoyen est entrain de demande (« la sécurité avant la nourriture » c'est-à-dire al- amen kabla khobz) puisque il ne sa passe pas un jour sans que sans que les masse medias dénoncent la cruauté dans ces différents sens causer par le manque de sécurité .
Descriptif des états de lieux : oumaima va nous éclaircir le descriptif des etats de lieux.
Des commerçants dépouillés de leurs recettes, Des femmes détroussées dans la rue, des passants auxquels on arrache le téléphone, jeunes filles attaquées au cutter pour abandonner leurs sacs à leurs agresseurs… Les crimes et délits prennent une ampleur rarement connue. Et accroissent un sentiment d’insécurité face auquel les pouvoirs publics semblent bien inertes.
Dire que la situation sécuritaire demeure globalement normale et satisfaisante sur l’ensemble du territoire national, c’est sincèrement prendre les choses à la légère. Le citoyen x ou lambda sait qu’il ne se sent pas totalement en sécurité quand il descend seul ou avec ses enfants dans la rue, quand il se trouve au milieu de la foule, dans les terrains de football dans sa voiture et parfois même chez soi aussi bien dans les quartiers populaires que dans les quartiers huppés des grandes villes. L’absence de statistiques scientifiquement fiables et crédibles, nous interdit de tirer des conclusions dans ce cas de figure.
Le gouvernement Benkirane, trop occupé à jouer les pompiers sur d’autres fronts, feint de ne pas voir cette insécurité rampante. On aurait souhaité retrouver cette même impulsion pour le domaine de la sécurité du citoyen, car il s’agit d’un des besoins primaires de l’Homme.
A première vue, le plus beau pays du monde est aussi un des plus “safe”, à en croire les statistiques officielles. Lundi 4 juin, au parlement, le ministre de l’Intérieur, Mohand Laenser, a dévoilé les chiffres de l’insécurité, recensant près de 500 000 faits de délinquance dans le pays pour 2011, soit 15 crimes pour 1000 habitants. C’est, à titre de comparaison, beaucoup moins qu’un pays comme la France, qui tourne à 69 pour 1000. Mieux, le premier flic du royaume a souligné le peu de meurtres au Maroc, avançant un taux d’homicide de “0,4 cas pour 100 000 habitants, un chiffre très en deçà de ceux enregistrés dans nombre de pays développés”, avant de se féliciter du taux d’élucidation des enquêtes (85%). Et il s’agit de le faire savoir pour lutter contre le sentiment d’insécurité qui habite les gens. Mohand lansear a bel et bien confirmé que « la situation sécuritaire demeure normale et satisfaisante sur l’ensemble du territoire national, comme en témoignent tous les observateurs neutres ». Le citoyen ordinaire aimerait bien savoir de quels observateurs s’agit-il ? Probablement Laenser fait-il allusion à ces étrangers (touristes, responsables et hommes d’affaires)
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