Fiche Les mutations du système productif en France

Les mutations du système productif

Avant industries, leurs branches avaient leur systèmes et logique de communication, jusqu’en 1950 clivage nord est industriel et sud-ouest rural= inégalités de dvpmt industriel dues à une lente révo indus comparé aux autres pays européens. Depuis ≈50ans 2épisodes bouleversement de l’appareil productif et de l’organisation spatiale : croissance rapide puis crise et réduction des effectifs, disparit° gdes usines= fin du paysage industriel. Product° se fait ds lieux ≠ts.

Peut-on encore parler d’une industrie française ? Fce 5eme puissance indus derrière USA, Chine Japon mais bien devant Allemagne. Depuis≈30ans modernisat° rapide modifiant son organisation et insert° interntle, ces é mvmts=concomitants : industrie se tertiarise et participe bien au processus de mdlst°, le terme industrie est-il adéquat ? Est-ce légitime de lui apposer le caractère de national ?

La notion d’industrie perd de sa netteté : L’industrie a une rôle essentiel dans l’éco : 1/3 PIB, 22% de la pop active mais part de l’indus manufacturière ds PIB en baisse 24% en 1980 14% en 2007.

Les secteurs d’activité sont devenus obsolètes. Le classement en secteurs primaires secondaires et tertiaires ne correspond plus vrmt aux évolut° rapides qui affectent les types de qualification et l’organisat° de la prod (travail productif se technicise et est -manuel, frontières troubles). Production complexifiée et diversifiée, fabrication connaît une disparit° ds emplois à faible qualificat°. La recherche et conception sont +importants que la fabricat°=emplois de type tertiaires se dvlpent ds industrie. L’industrie comprend désormais des produits immatériels comme des sites web, applis→ valeur ajoutée provient du travail intellect. L’industrie manufacturière utilise tjrs force mécanique mais -manuelle et +matière grise ex : électronique, informatique. La révo informationnelle et communicationnelle est un des élé majeurs de la mdlst° (ex : un virus info peut faire courir des risques à gde partie du mde éco). Entreprises doivent sans cesse mettre à jour leurs équipements et organisat° pr rester compétitifs. On qualifie le dvpmt des nvlles techno de « « ème révolution industrielle ». On ne peut plus limiter l’industrie au seul domaine de la product°, impossible aux entreprises de se dvlper sans transports, banques, recherche et tout le tertiaire (vaut pour local&intntl). Perte de netteté de la notion d’industrie qui se tertiarise même si certaines unités de prod ont encore un caractère affirmé ce ne sont plus que de P&M industries, dans les grandes entreprises la prod est un DES volets d’activités.

Une industrie nationale ? Industrie fçse dvlpée à partir du marché ntl impulsé par ressources et capitaux français et Etat interventionniste qui localisait l’espace indus. S’est vite ouverte sur Europe puis monde, cherche à s’adapter à la mdlst° ce qui remet en ? ses rapports à l’Etat.

L’industrie dans l’euro-mondialisat° : le marché ntl n’est plus moteur de l’industrie même si tjrs important, entreprises soumises à l’impératif du marché mondial : plus elle sont dynamiques le chiffre d’affaire se fait à l’extérieur en exportant ou produisant à l’étranger. Les IDE étaient et sont tjrs dus en partie à la recherche de main d’œuvre (1/3) mais aussi ajd à l’accès au marché financier mdl et à la recherche de spéculations. Les capitaux se dirigent vers les grands PID (Europe, USA). En 2010, France 4eme rang mdl pour l’attraction des capitaux (surtout Ile de France), tête européenne. Investisseurs attirés aussi par qualité de la recherche par ex, flus variables entre années et témoin s de fragilité éco entre 2008-2009. Certaines logiques se maintiennent : nord, ouest, bassin parisien et alsace attractifs pour implantation d’industries agroalimentaires et Paris/Grenoble pour hautes technologies ; industries allemandes choisissent terres limitrophes ; capitaux étrangers vont là où il y a main d’œuvre et zones franches. L’internationalisat° s’opère aussi par la constitut° de grands groupes indus et financiers (ex : Airbus européen pr concurrencer Boeing). La marge des Etats pour conserver une politique éco originale s’amenuise avec les contraintes extérieures de la construct° européenne et de l’OMC.

La fin de l’interventionnisme : Pendant un demi-siècle le rôle de l’Etat

Fin interventionnisme : Spécifique à la France, débute vrmt pdt 3ème République et affirmé après guerre (nationalisation transports ex : SNCF, industries collabos sanctionnées..), BUT : moderniser appareil productif et s’ouvrir après le protectionnisme en se mettant au niveau des concurrents européens. Les choix faits sous De Gaulle ds nucléaire, aérospatiale et électronique ont effets durables ds espace industriel français. En même temps une politique d’aménagement de territoire et décentralisation : influence importante de l’état pdt env50 ans ds l’organisation de l’appareil productif. MAIS la crise des 30 dernières années ébranle ce système : on ne vise plus le long terme mais seulement des politiques sectorielles pour pallier aux difficultés ds branches touvhées ex :textile, sidérurgie. Fin 70’s début débat droite-gauche sur rôle de l’Etat et des nationalisations . Sous F.Mitterand nvlle vague de nationalisation touche tous les grands groupes des branches les plus stratégiques (énergie, électro, chimie, métallurgie...) mais ces entreprises souffrent svt de déficit que l’Etat doit combler et la perspective de marché unique européen est en opposition avec le soutien de l’Etat aux entreprises qui fausse le marché : légitimité des nationalisation remise en question. -> dep1986 les privatisations s’emplifient et secteur national réduit. Secteurs des transports, énergie et poste sont concertés, France au « diapason européen » : ouverture du capital de GDF en 2004, fusion avec Suez, mise en concurrence de la SNCF avec les transports internationauxen 2009.. Les règles sont désormais fixées à Bruxelles. Les rapports de l’Etat au système productif ont changés de nature.

OUTILS ET CONCEPTS :

Fonctions : 2 grandes familles fonctionnelles

-Fonctions

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