Le nu à la Renaissance
Cours : Le nu à la Renaissance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Bianc • 19 Avril 2024 • Cours • 1 000 Mots (4 Pages) • 90 Vues
Cm latin 3 oct
Méthode exposé :
- Intro :
- Contexte
- Présentation peintre
- Problématisation
- Elément problématisant
- Plans
- Plans avec problème propre à l’œuvre (question du nus)
- Sujet, sources, compo, couleurs, les idées, mouvements, comparaison œuvre
Quattrocento = nu opposé au vêtu et à l’écorché
Technique de drapé mouillé
LDV = traité de peinture jamais sortit. (Car pas d’édu de lettres).
Précepte du nu en fonction du vêtus : il y a divers degrés :
- Manteau = pas de contour du corp ex : Draperie pour une figure assise
- Le semi-nu= nymphe ou ange, laissant deviner leurs formes ex : études de danseuses
b) Le nu et l’écorché
S’il se définit au drapé, alors il se définie par un autre thème, le décroché.
Le squelette, similitude entre les procédés de fabrication. Ex : pour dessiner un vêtus il faut faire un corp nu. Ou le squelette qu’on recouvre de chaire. Toujours le thème de s’habiller.
« In uestiendo » = se couvrir ; illustration entre l’art et la nature. Le nu serait conçu de manière basique.
Un nu = deux étapes (+difficile). Entre l’écorché et l’habillé, il y a une multitude d’état. Ce sont donc les opposés : les blessées, les semis-nu, … le NU serait alors sur une échelle d’un entre deux. D’où les variétés de figures. Le nu = un ensemble de possible.
Alberti, De pictura, II, 36 = traité comme ceux de Cicéron. Il se met en scène comme étudiant, interrogeant ses profs de philo et de théorique. Il se présente comme un lettré, toute personnes ayant une culture profonde des arts serait alors capable de devenir
L’animatio= la ressemblance = la mimesis = opposition du « nus » et du « dénudé »
Guarico : Allusion à la statue équestre, représentation du cheval en nus, muscle contracté, représentation inhabituelle = choquer. Le réalisme du corp = animaliser la figure humaine. Il donne ex-Hercule (Hercule et Antée / Hercule et l’Hydre). Il n’y a pas de douceur, les artistes contempo doivent modestir leurs représentations = connaissance.
- Connaissance aigue des muscles et de l’anatomie pour bien placer les muscles.
- Il oppose douceur et crudité, pour lui therme péjoratif.
- Antithèse entre les corinthiens (Antique avec BOT idéal er douce contre les modernes avec des figures grossière et maladroit)
Le nu et une qualité, alors que le dénudé est un processus, un corp déshabiller. L’écorché est un corp dépouillé de sa nudité, c’est un corp défait, détruit.
Lodovico Dolce, polygraphe vénitien, Dialogue de la peinture. Il oppose le nu a l’écorché, « le ». L’essentiel du nu serait dans le vêtement de la chaire = excellence du peintre (colori de la chaire soit école vénitienne). Importance de l’épiderme ; sans la peau, le corp ne serait naturel. La peau est une limite entre l’infiniment petit (intérieur du corp) ou (infiniment grand avec les comparaisons au cosmos)
Le nu se confond avec la surface du corp ; Il se laisse saisir dans une enveloppe. A la renaissance, peur de l’écorchement. Ex : mythe Apollon et Marsyas (tombé love de syrinx, elle se transforme en roseau, puis flûte. Il devient musicien, confronte Apollon, puis se fait dépecer) (Bible : Saint Barthélémy) (Batille de Trente = dépesage des chrétiens, 1480)
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