Kruger parc
Compte rendu : Kruger parc. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar olivier De Ketelaere • 18 Mai 2023 • Compte rendu • 1 734 Mots (7 Pages) • 289 Vues
SAFARI KRUGER
Quand on parle de l’Afrique du Sud, on pense presque immédiatement au SAFARI et son fameux parc national mythique : Le Kruger.
Pour une première expérience de safari, je pense que ce parc est vraiment un endroit recommandé. On y rencontre tous les membres du Big Five dont le roi de la savane dans une végétation très variée.
Le Parc National Kruger est considéré comme la plus grande réserve animalière d’Afrique du Sud. Elle constitue l’un des plus grands endroits sauvages sur notre terre. La superficie du parc est de 2 millions d’hectares. Cette terre sauvage a été considérée comme un parc en 1898. On lui a donné le nom du président de l’époque, Paul Kruger. Le fait d’avoir défini cette région comme un parc, a permis de protéger la faune et la flore sud-africaine. D’ailleurs, l’Unesco l’a reconnu comme une « réserve de biosphère » les plus importante de notre monde. (Définition Larousse : « Ensemble des écosystèmes de la Terre, correspondant à la mince couche (20 km max.) de l’atmosphère, de l’hydrosphère et de la lithosphère où la vie est présente. »).
Le parc Kruger est un endroit où l’on peut rencontrer énormément d’animaux tels que les lions, les éléphants, les buffles, les léopards, les rhinocéros, les zèbres, les girafes, les koudous, les impalas et encore beaucoup d’autres. Tous ces animaux peuvent se balader librement sur ces 2 millions d’hectares. Les oiseaux aussi sont à découvrir en très grand nombre, notamment le long des rivières Olifants, Sabile ou Limpopo. On peut ainsi observer des hérons, cigognes, Martin-pêcheur, Calaos, vautours et francolins, que l’on découvrira souvent dans les acacias du parc.
Le parc Kruger est entouré de réserves animalières privées. Celles-ci ne sont pas, ou presque pas, clôturées. Il y a donc un lien naturel entre ces réserves et le parc lui-même. Aucune frontière n’est présente pour empêcher les animaux de se promener en liberté et profiter des différentes zones de cette immense réserve sauvage.
C’est dans l’une de ces réserves privées que nous nous sommes rendus : la réserve naturelle privée de Balule.
Situé dans la réserve naturelle privée de Balule, d'une superficie de 40 000 hectares, adjacente et ouverte au grand parc national Kruger.
Balule Game Reserve fait partie du Grand Kruger Park. On peut considérer cette réserve comme un parc en soi vu qu’elle couvre une zone de plus de 40 000 km². Elle est localisée à seulement une heure de route des deux des portes d’entrées principales du parc Kruger et à une trentaine de minutes de voiture du parking ou vous devez laisser votre voiture.
Elle se situe le long de la rivière Olifants, un des endroits comme décrit ci-dessus qui abrite bon nombre d’animaux et d’oiseaux mais également avec une flore assez abondante. Les paysages varient avec les saisons. Lors des pluies, la rivière principale change l’aspect visuel de cette région assez vallonée. De plus, on peut également apercevoir la naissance de petites rivières annexes à la principale.
Nous avons séjourné dans le Greenfire Game Lodge. Ce camp « fixe » est aménagé au cœur de la savane, ce qui nous a permis d’être vraiment plongé dans une atmosphère authentique.
Nous avons eu comme guide Given. Il travaille dans ce parc depuis 6 ans. Il nous a expliqué qu’il était contre les parcs qui sont ouverts au public. En effet, dans ceux-ci, les gens peuvent rouler eux-mêmes, sans guide dans le parc. Or les gens ne connaissent pas le comportement des animaux. Il nous a expliqué que les gens se comportent souvent n’importe comment avec les animaux. Il y a bien des règles à suivre, comme ne pas ouvrir les fenêtres, suivre la route, ne pas klaxonner mais néanmoins, tout le monde ne respecte pas cela. Ma sœur nous a d’ailleurs raconté son expérience de conduire dans le parc public. Elle s’est retrouvée face à des éléphants. Ses amis lui ont dit de se rapprocher encore. Elle a refusé et fait marche arrière. Heureusement car elle a expliqué que les éléphants remuaient des oreilles. Ce qui veut dire qu’ils ne sont pas contents, avec un risque qu’ils chargent sur la voiture.
Alors oui, cela coûte plus cher d’aller dans des parcs privés mais, si vous le faite un jour, je vous conseille vraiment ceux-ci, le guide que vous aurez avec vous vous expliquera tout ce que vous devez savoir sur les animaux et la végétation. J’ai appris énormément de chose grâce à Given. Il nous a expliqué, par exemple, qu’un arbre couché sur la route, c’est tout simplement un éléphant qui voulait se gratter et qui avec la puissance et la force de son corps l’a renversé.
Un vrai plus pour nos balades également, le fait de prendre place dans un des véhicules ouverts du camp. Ils nous permettent d’être au plus près de cette faune et flore africaine.
Les horaires sont en général tous les mêmes dans chacun des camps. Vous vous levez à 5h, prenez un rapide petit déjeuner et vous partez à 5h45 au plus tard. Vous roulez alors pendant 4h à la recherche des animaux. Ce sont les heures optimales pour voir des animaux car ce sont les moments encore frais dans la savane. Pour admirer le lever du soleil, nous nous arrêtions boire un thé.
Vous rentrez vers 9h30-10h à votre camp. Un copieux déjeuner est alors proposé. Une fois celui-ci avalé, vous avez tout le temps que vous voulez pour aller à la piscine et bronzer. Personnellement, j’étais tellement fatigué, que je faisais des siestes jusqu’à 12h30. Vers 13h, le repas du midi nous était proposé. Souvent des buffets de salades et des plats typiques africains. Ensuite, à nouveau un temps libre jusqu’à 16 heure, l’heure de notre second safari de la journée. Il est généralement basé sur le même rythme que le matin, 4 heures de safari avec une halte quand le soleil se couche. Nous profitions alors d’un apéritif, arrêté près d’un petit étang où résidait un hippopotame. Quand vous rentrer à l’hôtel vous mangiez le repas chaud du soir.
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