Légalité et légitimité

Légalité et légitimité

La légalité et la légitimité coexistes depuis de nombreux siècles, certaines fois l’un empiète sur l’autre, d’autre fois elles sont indissociables, et certaines fois elles coexistent de façon distincte et autonomes.

La légalité et la légitimité ont des liens très étroit, mais la notion de légitimité est difficile à définir on va donc souvent l’opposé à la légalité. Le principe de légalité peut se définir comme une correspondance avec l’organisation est le fonctionnement des institution politique donc légale. La légitimité correspond plutôt à l’acceptation du pouvoir, c’est le caractère de ce qui est juste est moral. Cette définition est à distinguer de la définition de la légalité à l'inverse, la légalité c'est la conformité à la loi, en outre, ce qui est permis par la loi. On comprend donc de suite que la légalité correspond au droit positif, et que la légitimité correspond à ce qui est juste donc moral. La question qui se pose est donc de savoir si a légitimité et la légalité sont deux règles distinctes ou bien si ses deux notions sont se complètent ?

Pour répondre à cette question, il serait intéressé de voir dans un premier temps, quel sont les rapports existants entre la légalité et la légitimité (I), puis dans un second temps, de comprendre les divergences existantes entre la légalité et la légitimité ainsi que leurs finalités. (II).

(I) Les concordances entre la légalité et la légitimité

La légalité et la légitimité sont généralement des notions qui corresponde, ce qui est légal est légitime est ce qui est légitime est légal, mais ils peuvent également être considéré comme des notions opposé. Pour mieux comprendre cela il serait intéressant d’étudier les différents les liens étroits entre la légalité et la légitimité (A) mais également de comprendre les points discordants entre la légalité et la légitimité (B).

(A) Les correspondances ambigües entre la notion de légalité et de légitimité

Si la légalité et la légitimité sont tous deux étroitement liées, c’est d’abord, car ils imposent des normes de conduites. En effet la notions de légalité est une norme de conduite dans lequel le droit administratif est le principe fondamental de l’action de l’administration qui doit respecter le droit. Son fonctionnement est régi par des règles et des procédures qui l’habilitent à agir et qui définissent le droit administré. La légitimité est également une norme de conduite, qui ne fonctionne pas exactement de la même manière que la légalité mais au fond reste le même. En effet la légitimité est la capacité d’une personne ou d’un groupe, à implanté son autorité sur les membres d’une communauté ou d’une société. Pour pouvoir faire cela L’écologiste et sociologue allemand Max Weber distingue plusieurs types de domination : la première est la légitimité traditionnelle, cette légitimité repose sur une structuration du pouvoir, dans lequel des autorités comme par exemple un conseil peut parfois désigner un chef, en outre, c’est un groupe de personne puissant qui désigne un individu comme chef pour diriger la tribu (c’est souvent les personnes considérées comme les « anciens » qui désigne le chef). La deuxième est la légitimité charismatique, elle s’applique quand une personne devient chef politique grâce à la manière dont il peut impressionner le peuple ou le groupe, grâce à des discours notamment. Celui qui a le plus de charisme va l’emporter l’adhésion des foules et donc puiser sa légitimité. Puis pour finir la légitimité rationnelle légale, elle correspond à la légitimité la plus évidant c’est-à-dire celle qui est fondé sur des règles juridiques qui conditionne l’organisations dans la plupart des régimes il y a une condition qui conditionne la base de l’état mais

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