La Marquise de Merteuil

   Nous allons voir en premier lieu la personnalité particulière de la marquise de Merteuil qui possède une personnalité partiuclière  ainsi qu’une grande intelligente

  Dans cette extrait nous pouvons voir sa personnalité particulière ou envisager une possible perversité comme lorsque elle rabaissera les autre femmes pour montrer sa supériorité avec « qu’ai-je de commun avec ces autre femmes inconsidéré ? », elle remontrera également ca supériorité lorsqu’elle qualifiera ces principes comme étant supérieur  car elle y a beaucoup réfléchi et n’est pas comme les autres femmes qui les ont eu par hasard et les suivent par habitudes, cela nous fera voir aussi  ca personnalité méprisante  « je dis mes principes , et je dis a dessein ; car ils ne sont pas a dessein , comme ceux des autre femme… et puis je dire que je suis mon ouvrage », elle se qualifiera également comme un ouvrage ce qui montre ca personnalité  orgueilleuse« et je puis dire que je suis mon ouvrage ». A la fin du texte nous verrons encore son orgueil lorsqu’elle se qualifiera du haut de ces 15ans comme ayant la plupart des talents des grand parti politiques « Je n’avais que 15ans,je possédais déjà les talents auxquels la plus grande partie de nos politiques doivent leur réputation », juste après cela nous observerons verront qu’elle montrera sont arrogances lorsque elle précisera qu’elle n’est qu’au premier éléments des connaissances que elle veut acquérir « et je ne me trouvais encore qu’aux premiers éléments de la science que je voulais acquérir ».Tout au long du texte elle répétera le mot je  a de nombreuses reprises pour montrer son orgueil et son sentiment de supériorité  « je » (L1,2,4,5 ETC).Peu avant la fin de l’extrait nous pourrons observer la confiance que elle a en elle  lorsque elle contredira ca propre expérience qui lui disait de ce méfier de son coup d’œil pénétrant « et j’y gagnais ce coup d’œil pénétrant, auquel l’expérience m’a pourtant appris à ne pas me fier entièrement ; mais qui, en tout, m’a rarement tromper »(L26-27). Elle montrera encore ca supériorité par rapport aux autre en rappelant au vicomte son étonnement par rapport au contrôles incroyable de ces émotions « C’est ainsi que j’ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vue quelque fois étonner. »(L17-18)

Cette extrait va également nous présenter son intelligence qui est un des composant de ca personnalité particulière, nous pouvons voir sont intelligence de nombreuses fois lors de cette extrait notamment lorsque elle explique avoir les connaissances des plus grand hommes politiques « je possédais déjà les talents auxquels la plus grande partie de nos  politiques doivent leur réputation »(L28-29),peut avant elle essaye de convaincre encore plus de son intelligence lorsque elle dit que elle possédait tout cela dès son plus jeune âge « Je n’avais que 15ans »(L28). Un des autres moments de l’extrait qui montreras son intelligence est lorsque elle expliqueras que jeune elle réfléchissais a comment savoir les choses que on lui cachait tout en étant vouer au silence et a l’inaction car c’est une femme « j’ai su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu’on me croyait étourdie….je recueillais avec soins ceux qu’on cherchait a me cacher »(L7-9)Cette intelligence est notamment visible lorsque elle expliqueras que malgré son jeune âge, elle a compris que elle n’avais que ca pensée et ne pouvait ce la laisser ravir « J’étais bien jeune encore…..mais je n’avais a moi que ma pensée, et je m’indignais qu’on put me la ravir ou me la surprendre contre ma volonté. ». Tout au long  de l’extrait nous pouvons voir son intelligence par le fait que elle a compris que pour garder c a propre pensées elle devait jouer un rôle  pour  cacher ces propres émotions « Je m’étudiais a prendre l’air de la sécurité…..C’est ainsi que j’ai su prendre sur ma physionomie cette puissance »(L14-18). Au tout début du texte on peut voir aussi une preuve de son intelligence car elle a créé ces propres principes a elle après de nombreuses réflexion au lieu de suivre ceux que toutes les autre femmes suivait « Je dis mes principes….ils sont le fruits de mes profondes réflexions ; je les ai créé , »(L2-4)

L’une des grande force de son talent de manipulatrice est son hypocrisie, elle en parlera a plusieurs reprise notamment lorsque elle expliquera qu’elle dissimule les choses qui lui sont précieuses aux yeux des autre « forcer souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m’entourait »(L10-11). Il y a également d’autre moment ou on pourra voir son hypocrisie comme lorsque elle explique en fonction de l’interlocuteur elle changera sa façon de parler ainsi que son discours voir même par moment selon ces envies ou fantaisie « je m’amusais à me montrer sous des formes différentes…..ou même seulement suivant mes fantaisies »(L21-23).Son hypocrisie sera encore renforcer en rappelant l’étonnement de certains devait ce changement de visage « C’est ainsi que j’ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vue quelque fois étonnée »(L17-18). La marquise expliquera que son hypocrisie a été possible grâce à sa curiosité « Cette utilise curiosité…m’apprit encore à me dissimuler »(L10). On pourra observer aussi que elle avait gardé ca penser uniquement pour elle et ne laisser montrer que ce qu’il y avait d’utile à montrer au autre « dès ce moment ma pensée fut pour moi seule, et je ne montrai plus que celle qui m’était utile de laisser voir »(L23-24).On voit également que elle joue un rôle lorsque elle parle de jouer la fille qui suivait les principes que on leur avais donner au hasard, c’est-à-dire ne pas réfléchir si on nous cache la vérité ou non « Tandis que on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité les discours que qu’on s’empressait de me tenir »(L7-8).

Pour avoir un tel talent de manipulation la marquise a avant tout travailler pendant longtemps sa maitrise de ces émotions ainsi que de son discours. On peut le voir par exemple lorsque tandis que elle était vouer au silence à cause de ça conditions de femme, elle a apprises distinguer le vrai du faux tout en paraissant comme une femme normal « j’étais vouer par état au silence et a l’inaction,…je recueillais avec soins ce qu’on cherchait  à me cacher »(L6-9).Elle va également apprendre à manipuler les autre grâce à sa curiosité qui lui as permis d’apprendre à se dissimuler auprès des autres « Cette utile curiosité , en servant a m’instruire , m’apprit encore à me dissimuler »(L10). On peut observer aussi peu après les effort , que la marquise a fait pour pouvoir tromper les autre volontairement sur ce que elle aime « forcée souvent de cacher les objets de mon attention aux yeux qui m’entouraient , j’essayai de guider les miens à mon gré »(L10-11).Madame de Merceuil va tellement apprendre à maitriser son regard         que cela étonnera même le vicomte « j’obtins  dès lors de prendre à volonté ce regard distrait que depuis vous avez loué si souvent »(L11-12)On peut voir que elle va employer de la dualité pour expliquer que elle a apprise a jouer avec ces émotions  par exemple joyeuse alors que elle est triste « ressentais je quelque chagrin….même celui de la joie »(L14-15)La marquise expliquera aussi que la joie que lui a donner le fait de contrôler son regard elle a apprise pour mieux manipuler les différentes expression faciale « Encouragée par ce dernier succès je tachai de régler de même les divers mouvement de ma figure »(L13-14).Vers la fin du texte elle expliquera que elle a maitriser au plus au point la manipulation des gens en apprenant a lire parfaitement sur le visage des gens mais que elle avait quand même cela encore beaucoup de choses à apprendre « ce travail sur moi-même avait fixer mon attention sur l’expression des figures….mais qui , en tout , m’as rarement trompée »(L25-27) » «  et je ne me trouvais que au premier éléments de la science que je voulais acquérir » (L29-30), avec cette dernière phrase elle va même qualifier l’art de manipuler les gens comme une science complexe avec de nombreuses connaissance nécessaire.

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