LE CADEAU CAS

LE CADEAU

Dans le corpus étudié l’élément principalement mis en évidence est le cadeau. Le cadeau est une forme courante de don  dans le but de faire plaisir à une personne .LE cadeau est quelque chose qui est destiné à rendre une personne plus heureuse ou moins triste. L’auteur Pierre Marie Martin met en avant les faits que le plaisir d’offrir est devenu un acte social et ritualisé avec « L’Eloge du cadeau » tiré du magazine Kafkaïens du 14/02/05.

Anne Monjaret, elle, avec son texte «  un cadeau ça n’a pas de prix », extrait, de l’Ethnologie Française de 1998, mets au jour la valeur marchande accordé au cadeau.

De plus Annie Ernaux avec l’extrait de son roman « la place » des Editions Galimard de 1984 nous expose la valeur actuelle accordée au cadeau et l’importance qu’on lui donne.

Pour finir nous observerons la caricature de Hubert Blatz « Le Cadeau » qui dénonce le cadeau personnel.

De nos jours le cadeau à t’il la même valeur qu’autrefois ?

Nous verrons dans un premier temps comment le cadeau est devenu un acte social et ritualisé puis, en second lieu quel est la vraie valeur du cadeau.

Dans un premier temps nous pouvons affirmer que le cadeau est aujourd’hui, devenu, un acte purement ritualisé, en effet comme nous le présente L’auteur PM Martin le cadeau est devenu un acte purement social  et l’échange du cadeau est fortement ritualisé, l’auteur nous montre comment la relation est modifiée par ces cadeaux. En effet selon l’auteur le but premier du cadeau  est le plaisir, celui que l’on ressent aussi bien à la réception d’un cadeau ou bien lors d’un don. Le cadeau est une manière de montrer le plaisir do’ffir car comme nous le montre également Anne Monjaret, le cadeau requiert une recherche, un investissement personnel, en effet comme elle nous l’explique chaque cadeau, est proportionnelle à l’étroitesse de la relation qui unit le receveur et le donateur.

Cependant nous pouvons observer que le plaisir d’offrir s’estompe peu à peu comme nous le montre Martin avec les campagnes commerciales visant à offrir un cadeau. L’auteur nous montre bien que, lors de ces campagnes (Noël , pâques) le plaisir d’offrir ce transforme en obligations social car on sait pertinemment que lors de ces fêtes on reçoit des cadeaux que l’on doit plus ou moins rendre selon les relations entretenue. L’obligation d’offrir détourne le principe même du cadeau qui est le plaisir d’offrir pour faire plaisir.

Ensuite nous pouvons voir que le Cadeau à une valeur propre mais que celle-ci peut être modifiée par celui qui détourne le sens même du cadeau et de son but premier.

En premier lieu comme nous le présente L’auteur PM Martin , le cadeau à aujourd’hui, dans notre société, une valeur marchande , en effet lorsqu’il y à un échange de cadeau , il y a un échange de bien ayant une valeur monétaire , et cette valeur va impacter l’importance que nous attachons à la relation entretenue. Une fois cette relation établie, le cadeau se chargera, par la suite, de prétendre à une valeur symbolique. Cependant Anne Monjaret nous expose le fait que, il existe une relation étroite entre la valeur de l’objet offert et la valeur affective que l’on porte sur le destinataire. En effet le prix est généralement en adéquation avec les liens qui unissent le donateur et le receveur.

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