Santé mentale- analyse des cas clinique
Étude de cas : Santé mentale- analyse des cas clinique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lealibert • 23 Mai 2016 • Étude de cas • 4 514 Mots (19 Pages) • 3 219 Vues
CAS CLINIQUE 1- SANTÉ MENTALE
______________________________________________________________________________
TRAVAIL NOTÉ 2 - 40 POINTS
Personnalité évitante
IDENTIFICATION
1. Sexe féminin
2. Dans la trentaine
3. Célibataire
4. Contrat d’insertion en emploi dans une ressource communautaire
5. Vit avec son père
6. Sans enfants
7. A consulté en psychiatrie suite à une tentative de suicide
8. Thérapie psychanalytique de 18 à 24 ans Thérapie terminée suite à la décision de la thérapeute
9. Cliente à l’époque très dépendante de la thérapeute.
10. Au Cegep , suivi en psychologie
11. Très affecté par la noyade d’un jeune et « harcelé » selon ses dires par l’église de la scientologie
12. Consommation de drogue
13. Médicaments pour contrer l’anxiété et la dépression ainsi que l’insomnie.
14. A fait une demande pour un suivi psychiatrique.
Le sujet dans la trentaine est célibataire et n’a pas d’enfants. Elle vit avec son père et sa mère est décédée. Elle travaille par le biais d’un programme d’insertion en emploi dans une ressource communautaire.
Elle a consulté la première fois en psychiatrie suite à une tentative de suicide, ce geste est la conséquence de l’arrêt de la thérapie psychanalytique, une décision du thérapeute pour mettre fin à l’état de dépendance du sujet. La tentative de suicide, par une surdose de médicaments, a mené le sujet à consulter en psychiatrie.
Des études au Cegep avec un suivi psychologique parce que le sujet subissait selon ses dires du harcèlement de la part de l’église de scientologie. De plus, un drame dans sa vie, un facteur aggravant, est le décès d’une petite fille qu’elle gardait souvent depuis l’âge de 16 ans, ce qui a laissé des séquelles. Donc, consultation pour dysfonctionnement. Consultait deux fois par semaine, pendant 60 minutes.
Après le Cégep, le médecin de famille l’a référée en psychiatrie, un suivi en ergothérapie, un autre avec une infirmière et prenait une médication.
A fait une psychose et thérapie pour mettre fin de la dépendance aux médicaments.
Rencontre toujours un psychiatre, prend du paxil entre autres, comme médication. Suivi présentement pour personnalité fuyante.
Médication pour dépression, insomnie et troubles anxieux.
ANTÉCÉDENTS PSYCHIATRIQUES ET MÉDICAUX
Problèmes médicaux
Maladie physique : paralysie cérébrale et bronchite asthmatique. A eu des problèmes d’apprentissage à cause de cela. Élevée comme un enfant qui avait une déficience intellectuelle( selon ses dires ). Trouble de coordination, et de locomotion.
Axe I : les troubles majeurs cliniques
Dysfonctionnel à cause de la situation familiale, aucun besoin comblé.
A reçu un diagnostic pour personnalité « fuyante « selon ses dires. Troubles anxieux et dépressifs et difficulté à dormir. Perte de confiance aux hommes, peur des conflits.
Tentative de suicide, troubles dépressifs, différents suivis. A consulté en psychanalyse car ne faisait rien de sa vie et avait besoin de comprendre son dysfonctionnement.
Description de soi-même
Se décrit comme timide mais aimant les gens même si la difficulté de rencontrer les gens est toujours présente.
Se définit comme étant l’extrême, ne fait rien ou au contraire fait beaucoup de choses, a de la difficulté à faire confiance aux hommes.
Reconnaît aussi qu’elle est méfiante, un manque de confiance et craint les conflits.Mentionne qu’elle se sent « comme rien, ne fait rien de bon dans la vie ».
Se sent incompétente inférieure aux autres, évite de rencontrer des gens. Une grande crainte du rejet.
Compte tenu de sa peur de rencontrer les autres, il y a des activités professionnelles qui ont été évitées. La peur de se faire dire qu’elle n’est pas à la hauteur, lui a fait laisser ses études, un blanc total durant les examens, « crises de panique » selon ses dires, et n’a jamais vraiment travaillé. Les professeurs ont même mentionné qu’elle n’était pas à sa place en éducation spécialisée.
Se sent trop observée pour livrer une performance particulière que ce soit aux études ou dans les activités professionnelles.
Difficulté à s’adapter et va éviter les groupes. Lors des rencontres avec les gens, il y a de l’inhibition, cela lui prend du temps avant de faire confiance et de s’ouvrir, mais lorsqu’il y a plus de deux personnes la difficulté augmente. Évalue la tierce personne plus intéressante qu’elle et cela provoque le mutisme chez le sujet.
Réticente à s’impliquer dans une relation, faut que l’autre prouve sa sincérité, doit mériter sa confiance, la peur du rejet est trop grande pour s’abandonner dans une relation.
HISTOIRE FAMILIALE ET SOCIALE
Troubles relationnels
Le sujet évite les conflits et risque de quitter car cela lui donne un stress important. En conséquence, elle mentionne qu’elle s’entend assez bien avec les gens de l’entourage, cependant, elle va fuir lorsqu’il y a un risque de difficulté que ce soit au niveau travail ou dans la famille. Capable de parler à quelques personnes mais va éviter les autres, en général.
Ne peut donner d’exemples de sa réaction lors de conflits tellement elle les évite. Cependant, sa réaction si le ton monte est de s’isoler ou encore refuse de donner
...