NOTRE DAME DE PARIS ANALYSE

NOTRE DAME DE PARIS ANALYSE

A Paris, en 1482. La jeune et jolie bohémienne Esméralda chante et danse sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame, envoûtant Quasimodo, le sonneur de cloches qui vit en haut de l'édifice et le prêtre Frollo qui a remis sa vie entre les mains de Dieu. Découvrant des sentiments qui lui étaient jusqu'à alors inconnus. Frollo est déchiré entre son amour pour Dieu et celui qu'il éprouve pour Esméralda. La jeune fille, naïve, découvre quant à elle la méchanceté des parisiens envers les gitans. Frollo demande à Quasimodo d'enlever Esméralda. Mais les archers commandés par le capitaine Phoebus de Châteaupers arrivent à temps pour secourir la bohémienne.

Personnages

• Pierre Gringoire : Le personnage de Gringoire s'inspire librement du poète et dramaturge réel du même nom. Dans le roman, Gringoire est un artiste sans le sou qui cultive une philosophie du juste milieu
• Esmeralda : Esmeralda est une bohémienne qui séjourne à la cour des miracles. Remarquable par sa beauté, elle incarne l'innocence et la naïveté.
• Claude Frollo : Claude Frollo est l'archidiacre de Notre-Dame, mû par sa foi et son appétit de savoir. Frollo a recueilli et élevé Quasimodo.
• Quasimodo : Abandonné par ses parents dès la naissance à cause de sa difformité, il a été déposé devant Notre-Dame. Frollo l'a recueilli et élevé. Bossu, borgne, sourd et boiteux, il apparaît au début du roman comme une brute à la botte de Frollo, mais se révèle ensuite doté de sensibilité et d'intelligence.
• Phœbus de Châteaupers : Capitaine de la garde, il est attiré par la gitane Esmeralda sans avoir de réels sentiments pour elle.

Les truands à l’assaut de notre dame :

Ce passage décrit une scène de grande violence : des truands attaquent Notre-Dame pour sauver Esmeralda et Quasimodo se retrouve à défendre sa cathédrale et sa bien-aimée.

Il se divise en 4 parties :

• La première (l.1 à l.9) : on a le point de vue de Quasimodo, sa préparation, sa détermination et ses méthodes
• La deuxième (l.10 à l.16) : on a le point de vue des truands ainsi que leur acharnement
• La troisième (l.17 à 31) : on revient sur la vision de Quasimodo dans son conflit
• La quatrième (l.32 à 64) : c’est une description de la fin de la bataille vis-à-vis des deux camps.

Le vocabulaire de la violence est utilisé tout le long de la scène pour bien insister sur la volonté de chaque partie à mettre hors d’état de nuire l’autre. Exemple : tuer, craquer, voler en éclats, acharnaient, plein de triomphe et de rage…

On peut aussi remarquer que Quasimodo est un défenseur très bien organisé. Il a empilé des projectiles sur la balustrade mais il a aussi fait un petit tas et immédiatement ceux de la balustrade épuisés il pioche au tas.

Quasimodo possède ici une volonté de fer. Il n’arrête jamais. « se baissait, se relevait, se baissait, se relevait encore. » ou bien « puis une pierre tombait, puis…,puis…, puis… » L’insistance de tous ces « puis » montre qu’il met du cœur à défendre sa cathédrale, qu’il y est résolu.

Il est tellement déterminé qu’il lance des pierres pour tuer les assaillants sans aucune pitié : « quand elle tuait bien, il disant : Hun ». Il ne laisse rien au hasard, il est sans scrupule pour défendre sa cathédrale et une femme.

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