L’esclavage des noirs, ou l’heureux naufrage et William Wilson

Cahier de lecture 2 : l’esclavage des noirs, ou l’heureux naufrage

1. Zamor : Malgré qu’il soit un esclave, Zamor est un très instruit, allumé, cultivé et intelligent.

« Valère : […] Ah! je le vois, vous êtes trop instruit pour un esclave et votre éducation a sans doute couté cher à celui qui vous la donnée. »

Mirza : Elle est naïve et peu instruite. Elle est très belle et d’une grande gentillesse.

« Sophie (à Valère de Mirza) : Son ingénuité m'enchante, sa physionomie est douce, et prévient en sa faveur. »

Sophie : Elle est belle et engagée. Elle défend la cause des esclaves.

« Sophie : Quel affreux préjugé! La Nature ne les a point faits esclaves; ils sont hommes comme vous. »

Ou

« Sophie : Que leur malheur les rend intéressants! Que ne ferais-je point pour les sauver! »

Monsieur De Saint-Frémont : Il a un bon cœur et veut adoucir le sort de Zamor et Mirza. Il est partagé entre son devoir de gouverneur et son cœur.

« Sophie : Je ne sais pourquoi ce Gouverneur m'intéresse. Le récit de ses chagrins oppresse mon cœur; il est généreux, clément: il peut vous pardonner. J'irai moi-même me jeter à ses pieds. Son nom? Si nous pouvions sortir de cette Ile. »

Ou

« M. De Saint-Frémont : Mes amis, je viens de vous accorder votre grâce. Que ne puis-je de même donner la liberté à tous vos semblables, ou du moins adoucir leur sort! Esclaves, écoutez-moi; si jamais on change votre destinée, ne perdez point de vue l'amour du bien public, qui jusqu'à présent vous fut étranger. Sachez que l'homme, dans sa liberté, a besoin encore d'être soumis à des lois sages et humaines, et sans vous porter à des excès répréhensibles, espérez tout d'un Gouvernement éclairé et bienfaisant. Allons, mes amis, mes enfants, qu'une fête générale soit l'heureux présage de cette douce liberté. »

1. L’intrigue montre les esclaves comme des personnes instruites (dépendamment des personnages). Ils examinent et remettent en question leur statut d’esclave. S’il mérite d’être traité de la sorte alors qu’ils sont des humains comme tous les autres. Cette représentation est peu crédible puisqu’à cette époque, les esclaves étaient considérés comme des sauvages, capables de rien.

1. Exposition : Zamor et Mirza se sont enfuis et cachés pour échapper à leur sort de mourir car Zamor a tué un homme pour protéger Mirza.

Nœud : Zamor et Mirza sauve Sophie et Valère de la mort. Les francais leurs sont donc redevable. Ceux-ci leur promette de les sauvés de la mort.

Péripéties : Le gouverneur refuse de sauver Zamor et Mirza, si cela dépendait de lui il les sauverait mais il ne le peut. Le gouverneur est à la reche de sa fille et Sophie est à la recherche de son père.

Dénouement : Sophie a découvert que son père était le gouverneur. Celui-ci, content d’avoir retrouvé sa fille accepte de sauver Zamor et Mirza.

1. Oui, il y en a un. Le coup de théâtre est lorqu’on est informé que Sophie est la fille du gouverneur. On constate qu’ils se retrouvent et ensuite ils décident de sauver Mirza et Zamor.

1. La pièce est un drame car elle comporte des éléments de tragédie et des élément de comédie qui rend la fin heureuse. Ces deux caractéristiue définit une pièce dramatique. L’une des caractéristique du drame est qu’il met en scène des personnages appartenant à tous les groupes sociaux ce qui est le cas dans cette histoire. On peut aussi voire beaucoup d’éléments dramatique notamment les conflits raciaux, les conflits familiales et aussi l’intrigue psychologique.

1. La morale de ce récit est pour dénoncer l’esclavage. L’esclavage est le thème majeur de la pièce. L’auteur parle de la violence des colonisateurs contre les esclaves. L'esclavage désigne les conditions sociales des esclaves, des travailleurs non libres et généralement non rémunérés qui sont la propriété d'une autre personne et donc négociables, au même titre qu'un objet. Cette histoire permet de dénoncer ce système instauré par les colonisateurs. Il faut renoncer à ce système social en associant tous les humains, en leur fessant comprendre qu’on est tous pareil et que ce n’est pas une couleur de peau, la langue, les origines ou autres marques de racisme qui va changer la nature de l’être humain. On doit ainsi respecter et aborder tous les gens qui appartienne à la race humaine.

Cahier de lecture 3 : William Wilson

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