Les tatouages

CGE cours du 21 juin 2022 :Speech : présentation (nom prénom classe) Présentation du sujet :

Pour faire cet article, on a effectué des recherches plus approfondies sur le tatouage, les différentes méthodes utilisés, ainsi que leurs répartitions selon les sexes, les pays et les âges. Par la suite on a décidé de représenter tous ce qui est quantifiables sous forme de schéma parce que c’est plus visible et plus compréhensible, c’est aussi plus attractif. Ensuite on s’est penché sur les tatouages les plus regrettés selon les sexes et pour finir on a fait des recherches sur le recouvrement

Aujourd’hui nous allons vous parlez des tatouages, une pratique de plus en plus rependue, c’est une méthode de plus en plus à la mode, le tatouage a débuté très tôt. Les tatouages sont des formes permanentes d’art corporel qui appartiennent à une multitude de cultures différentes partout dans le monde. Ici, nous examinons de plus près l’histoire des tatouages. Nous nous concentrerons sur leur origine et sur l’évolution des pratiques depuis les premiers temps, Nous examinerons également comment les attitudes sociétales envers les tatouages ont changé au fil des ans.…

Le premier homme tatoué connu à ce jour se dénomme Ötzi. Il a été découvert dans les Alpes italiennes en 1991 il serait né environ 3000 avant JC, d’après les chercheurs ses tatouages auraient un but curatif on a également retrouvé des traces de l’existence du tatouage chez les peuples Celtes, Japonais, Égyptiens Polynésiens ou encore Maghrébins. En ces temps reculés, le tatouage était plutôt synonyme d’identité ou de protection. Il était réservé aux personnes importantes comme les chefs de tribu ou les rois. Mais, il a aussi été très rapidement utilisé pour marquer les esclaves comme à Rome où l’on tatouait les criminels et les gladiateurs.

Après avoir presque disparu, le tatouage revient aux alentours du 18e siècle, au moment des grandes découvertes pour les marins, le tatouage représente une histoire, une aventure vécue, une personne rencontrée…Puis, le tatouage redevient un art marginal, on le retrouve sur les prisonniers et les prostituées.

(partie Coralie )

De nos jours, le tatouage représente une forme d’art populaire sur le corps. Cet art touche toutes les classes de population et ait présent dans la quasi-totalité des pays. Les tatoueurs sont maintenant considérés comme des artistes professionnels et certaines de leurs œuvres se retrouvent exposées dans divers salons, voir dans des musées comme le Musée des Pathologies de Tokyo qui expose des peaux tatouées.  

L’essor massif du tatouage s’intensifie avec l’exhibition des tatouages de célébrités considérés comme des modèles : footballeurs, chanteurs, acteurs... Leurs tatouages représentent leur emblème, une sorte d’image de marque.  

En effet, dans l’inconscient des anciennes générations le tatouage est associé à un signe de rébellion, transgression, d’appartenance à un gang ou aux prisonniers.  Mais de nos jours, le tatouage a une signification esthétique dans la majorité des cas, sans symbolisme profond systématique et n’est plus réservé à une certaine catégorie sociale.  

Il atteint maintenant toutes les classes et tous les genres mais de différentes manières : les hommes accordent une connotation de virilité à leurs tatouages alors que les femmes sont plus motivées par des raisons esthétiques, faisant du tatouage un bijou pour le corps. Il agit comme un signe d’expression de sa propre personnalité à travers différents motifs.

L’amélioration des techniques et technologique ont permis de grandement diversifier les tatouages (en exemple les tatouages UV) et même d’enlever le caractère permanant de ceux-ci grâce au recouvrement d’un tatouage par un autre ou bien de l’effacement de l’encre au laser. Ces pratiques sont de plus en plus répandus car l’accès au tatouage est de plus en plus simple et les tatouages regrettés sont souvent liés à une tierce personne et n’ont pas été suffisamment réfléchi.

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