La religion : les apports du judaïsme, du christiannisme et de l’islam à la pensée occidentale

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ϖ François VILLON

ϖ Stéphane Mallarmé, Un Coup de Dés

Qu’est ce qui fait que la pensée occidentale a pu connaître un destin de modernisation. Il a eu un basculement au 18ème siècle qui a amené les sciences = pensée gréco-latine qui propose un détachement. Et le judéo-christianisme qui apporte un aspect purement religieux.

Le rôle de passeur qu’à jouer la culture arabo-musulmane pour donner certains apports à la culture occidentale. Lorsque l’Europe se trouvait dans la période du 8ème siècle, il y a eu un recul manifeste des villes et de la culture. Au 9ème / 10ème il y a eu un recul des pouvoirs. Les textes grecs vont être traduit en Arabe et passeront en occident.

Texte 0 : Spinoza, Traité Théologico-politique

Biographie : il a lu Descartes c’est-à-dire qu’on utilise le système du doute pour tout y compris pour ce que l’on ne peut pas mettre en doute (lecture sacrée). Il est donc Cartésien mais il a aussi une formation biblique mais il est au départ de confession juive, il vit dans les provinces unies.

Il fait une critique interne du texte de la bible juive. Le révèrent père Simon mène une critique du texte biblique mais reste très proche de sa religion alors que Spinoza prend beaucoup plus de distance. Il est alors considéré comme quelqu’un de maudit et on a donc le droit de le tuer.

Pour lui tout obéis à quelque chose dans la nature donc un dieu ne peut pas intervenir de nul-part. Tout est réglé par des enchainements de cause et d’effet. On peut donc se demander où est la liberté humaine.

Spinoza est accusé d’être athée. Mais pour Spinoza il y a quand même un dieu mais on ne peut pas demander à Dieu d’intervenir dans la vie.

La superstition désigne la religion avec les sacrifices, c’est un sacrilège.

Il y a une fonction régulatrice qui nous donne une règle. Si nous suivons les préceptes de la religion il y a plein de choses qui permettent la vie en société et d’autre non. Il y a aussi une fonction consolatrice de la religion.

La religion est vue comme une drogue, qu’elle est quelque chose de totalement mauvais. Alors que si on détachait les mots du contexte, on pourrait croire qu’il fait un éloge de la religion (Cf. voire les jeunes hégélien : son enseignement à l’université attire les jeunes gens qui veulent l’unité de la nation allemande ou des réformes sociales, parmi ces jeunes hégéliens un certain nombre pensent qu’il faut libérer le peuple asservi par la religion qui régulerait le peuple pour le faire rentrer dans la bonne voie).

Feuillenbart : critique de la religion puisqu’elle empêche les changements sociaux.

Selon Marx, la religion créer des illusions du monde dans lequel on vit, ce n’est pas la religion qui créée la misère mais c’est la misère qui créée l’idéologie.

L’expression opium du peuple signifie l’anesthésiant du peuple, qui fait du bien qui calme la douleur mais ne la fait pas disparaître. La religion ne change donc pas l’ordre social.

Thomas de Quincey et Baudelaire qui font l’éloge de l’opium.

Texte 1 : Mircea Eliade, La Sacré et le Profane : introduction

Texte 2 : Roger Caillois, L’Homme et le Sacré

Roger est un auteur du 20ème siècle. Il est vers 1920/25 surréaliste, il va garder l’intérêt pour les rêves… Il réfléchit aussi sur le rapport de l’homme et du sacré. Le langage ne permet pas de nommer le sacrée, c’est une catégorie de la sensibilité. Le langage purement logique fait appel à la raison. Les sentiments font appel au langage pour faire ressentir quelque chose par le langage du cœur.

Voir chez Dally le Christ de Saint-Jean de la Croix.

Voir dans l’Islam la tradition du soufisme.

Dans le bouddhisme, il y a les paroles sacrées, l’utilisation de certaines postures du corps.

Pour Catherine Clément, le rapport au corps est la plénitude avec le corps que l’on peut obtenir avec la sexualité mais sans sexualité, c’est un désir complètement comblé (Cf. Elvire de Dom Juan).

Texte 3 : Maredsus, La genèse

Le second récit de la création a en fait été écrit bien avant le premier récit de la création. Dieu a le pouvoir de nomination, il faut donner un nom car le nom colle à la chose.

Au court du 6ème jour Dieu créa l’Homme à son image, il distingue l’Homme des autres animaux et est au sommet de la création.

Le premier homme crée est Adam (adama= la terre) fait de poussière puisque selon la genèse Adam est fait avec de la poussière.

L’idée de

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