LE HORLA CAS
Fiche de lecture : LE HORLA CAS. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar JUJU15 • 7 Mars 2016 • Fiche de lecture • 2 477 Mots (10 Pages) • 889 Vues
Le Horla
8 mai : Le narrateur habite dans la maison où il a grandi, entre Rouen et Havre, en Normandie, au bord de la Seine. Après avoir passé la matinée étendue sur l’herbe devant sa maison sous un énorme platane qui l’abrite. Il observe un convoi de navires traverser la Seine; il remarque un magnifique trois-mâts brésilien dont la blancheur immaculée l’émerveille.
12 mai : Aujourd’hui il, ressent un peu de fièvre (malade), se sent envahi par une mélancolie inexplicable et inquiète. Sa bonne humeur d’y il y a quelques jours l’a quitté.
16 mai : Sa fièvre croissante le trouble. Il éprouve la sensation d’un danger.
18 mai : Il n’arrive plus à dormir, il décide alors d’aller consulter le médecin qui le trouve juste nerveux mais rien d’inquiétant (aucune maladie). Il lui dit de boire du bromure de potassium et de prendre des douches.
25 mai : Il ne ressent aucun changement. Une inquiétude incompréhensible l’envahit à chaque approche du soir. Chaque nuit il fait d'affreux cauchemars et rêve qu'on l'étouffe dans son sommeil, en pesant sur sa poitrine, il se réveille allume une bougie mas il est seul !
2 juin : Son état s’aggrave, les conseils du médecin sont inefficaces. Pour se redonner la forme, il décide d’aller faire une promenade dans la forêt de Roumare où, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Une crise d’angoisse et de vertige le saisit. Il se perd puis retrouve son chemin.
3 juin : La nuit a été horrible. Il décide de partir faire un petit voyage.
2 juillet : Le narrateur est revenu et il pense (se sent) être enfin guéri. Il raconte son excursion au Mont-Saint-Michel. L’excursion a été merveilleuse, les paysages l’ont enchanté. Il retranscrit sa conversation avec un moine qui l’accompagnait, au cours de sa visite, le moine lui fit le récit d’une légende locale et lui parla du surnaturel, qui le troubla vivement.
3 juillet : Il a mal dormi. Son cocher souffre des mêmes maux que lui, mais les autres domestiques se portant bien.
4 juillet : Les cauchemars reprennent : il sent sur lui une présence qui aspire sa vie en étant accroupi sur lui et qui sa bouche sur la sienne buvait sa vie entre ses lèvres, on puisait ma vie comme aurait fait une sangsue. Puis il se leva et était épuisé. C’est si on lui ordonnait de repartir.
5 juillet : Après un nouveau cauchemar, où il s’imagina que quelqu’un l’assassinat en lui mettant en couteau dans le poumon et qu’il ne pouvait plus respirer, il se rend compte que la carafe près de son lit a été entièrement vidée. Pourtant il dort avec la porte de sa chambre verrouillé et ne se souvenait pas de l’avoir bu. Il pensa être alors somnambule.
6 juillet : On avait encore bu ou il avait encore bu sa carafe entièrement. Il se considéra fou !
10 juillet : Il nous expliqua ses épreuves surprenantes, le 6 juillet avant de se coucher il mettait sur sa table du vin du lait de l’eau, du pain et des fraises. Il remarqua le lendemain matin qu’on avait ou il avait bu toute l’eau et un peu de lait. Il reproduit la même expérience le soir même : même résultat. Le 8 juillet il supprima l’eau et le lait, rien n’a été touché. Le 9 juillet, il met cette fois que du lait et de l’eau mais il enveloppe les carafes de mousseline blanche et ficèle les bouchons et se saupoudre ses lèvres sa barbe et ses mains de mine de plomb avant de se coucher. Le lendemain tout a disparu mais il n’y a aucune trace de mine de plomb sur la mousseline, cela signifie que ce n’est pas lui qui a bu l’eau et le lait et qu’il n’a pas bougé dans son sommeil ! Il décide de partir à Paris.
12 juillet : Dès le premier jour à Paris, il se sent mieux, il est guéri, et considère avec ironie ses soucis récents comme le fruit de son imagination ou d’une grande solitude. Il retrouve sa bonne humeur et va finir sa soirée au Théâtre-Français où il y avait une pièce d’Alexandre Dumas fils puis retourne très gai à l’hôtel par les boulevards.
14 juillet : Il se promène s’amuse seul dans les rues en ce jour de la fête de la République. Il juge avec dédain la foule et les dirigeants du peuple.
16 juillet : Il dine chez sa cousine Mme Sablé (dont le mari commande le 76 e chasseur à Limoges) où il avait Docteur Parent (qui s’occupe beaucoup des maladies nerveuses et des manifestations extraordinaires auxquelles donnent lieu en ce moment les expériences sur l’hypnotisme et la suggestion) et sa femme et une autre femme. Au cours de la soirée chez sa cousine, le Docteur Parent procède à une démonstration d’hypnose sur sa cousine : il l’endort, puis il demanda au narrateur de se placer derrière elle et le docteur donna à la femme endormie un carton blanc ( comme si c’était un miroir) puis il lui posa des questions sur ce que faisait le narrateur et elle répondait juste puis le docteur lui ordonna de se lever à une heure précise, de se rendre chez son cousin( le narrateur) et de lui réclamer une somme d’argent pour son époux. Le lendemain, celle-ci s’exécute, sans se souvenir qu’elle avait été hypnotisée malgré toutes les questions et les affirmations que le narrateur lui disait. Une nouvelle séance d’hypnose la libère de l’emprise du médecin, effaçant en elle tout souvenir de l’injonction malgré les tentatives de remémoration (encore une fois) du narrateur. Cette expérience troubla très fortement le narrateur.
19 juillet : Troublé, le narrateur raconte la séance d’hypnose de sa cousine plusieurs personnes qui se moquent de lui. (Sauf le sage qui dit : peut-être ?)
21 juillet : Il dine à Bougival et passe sa soirée au bal des canotiers
30 juillet : Il est de retour chez lui depuis hier et tout se passe bien pour l’instant.
2 août : Rien de nouveau, le temps est superbe et il passe ses journées à regarder couler la Seine
4 août : Il y a querelles parmi les domestiques car ils prétendent qu’on casse les verres la nuit dans les armoires .Ils s’accusent mutuellement (Le valet accuse la cuisinière sui elle accuse la lingère, qui elle accuse les 2 autres). Qui est le coupable ?
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